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Mémorial N

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13 avril 1959 – Alors qu’il effectue un vol d’essai aux commandes d’un Morane-Saulnier 760 de l’escadrille 10.S (n° 12 – SR-42) de Fréjus – Saint-Raphaël, le LV pilote Hubert, Jean-Baptiste, Marie MAIN de BOISSIÈRE est tué dans la chute de son appareil qui s’abat au quartier des Nortettes, près d’Hyères. L’accident a fait une seconde victime, l’ingénieur principal du GM Georges, Raphaël NAHMIAS, adjoint technique du commandant de la CEPA.

21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes :

– 40 membres de l’équipage : Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT. 

– 10 passagers : le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON.

27 janvier 1961 – En décollant du terrain de Tambacounda (Sénégal), un JRF Goose de la flottille 27.F (BuAer 34078 – 27.F-12) est victime d’une perte de vitesse, passe sur le dos et s’écrase en flammes en bout de piste. Les six occupants de l’appareil périssent dans l’accident et parmi eux le CC pilote Hervé, Marie, Joseph de FORNEL, chef de bord, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Paul, Gontran NANTILLET et le VA pilote Pierre, Jean, Arnaud PONCHARDIER, commandant la Marine en AOF. Le VA Ponchardier était accompagné de son épouse et d’un couple d’amis.

4 août 1943 – Décollant du terrain de Dakar-Ouakam pour une mission de protection de convoi, un Lockheed Hudson IIIA (s/n FH336 – 1BR.III) de l’escadrille 1BR est victime d’une perte de puissance des moteurs, s’écrase et prend feu. Ses cinq hommes d’équipage, l’EV1pilote Marcel, Pierre, Henri DOUXAMI, chef de bord, l’EV1 de réserve observateur François GUICHARD, le SM1 mécanicien volant Yves, Jean NÉDELEC, le QM2 mitrailleur bombardier Jean, Joseph, Marie RIO et le SM2 radio volant Henri, Georges TOUCHARD, sont tués sur le coup.

20 décembre 1948 – Au cours d’un exercice d’attaque sur le croiseur Duguay-Trouin, un SBD-5 Dauntless de la flottille 4.F (BuAer 54596 – 4.F-13) disparaît en mer au large des îles Norway, dans le sud de la baie d’Along. Son équipage, composé du Mt mécanicien volant Marcel, Jean, Joseph, Marie LE CLOUÉREC et du Mt pilote Yves, René, Jean, Marie NÉDELEC, est porté disparu, présumé mort en mer.

21 août 1924 – Le QM radio volant Pierre, Adrien BEZ et le QM arrimeur pilote Louis, Léon NÈGRE, de l’escadrille R10 de l’Aviation d’escadre, trouvent la mort dans l’accident suivi de l’incendie de leur Breguet 14 sur le terrain de Fréjus – Saint-Raphaël.

20 mai 1940 – Pour essayer de ralentir l’avancée des troupes motorisées ennemies, l’escadrille AB1, équipée de bombardiers en piqué Vought 156F, a reçu pour mission de détruire le pont routier d’Origny-Saint-Benoîte dans l’Aisne. A mi-chemin, la formation, sans protection de chasse, est interceptée par des Messerchmitt Bf.109 et, en quelques minutes, la moitié des appareils français est abattue. Le Vought n° 7 (codé AB1.4) s’écrase dans la commune de Croix-Moligneaux (Somme). Ses deux occupants, l’EV1 pilote Georges, Paul, Marie FELTZ et le SM radio volant Albert, Félix, Louis NÉLIAS, sont tués dans la chute de leur appareil. Le Vought n° 14 (codé AB1.7), avec pour équipage le SM radio volant Jean-Louis, Yves, Laurent, Marie JEANDRON et le LV de réserve pilote Julien, Thormond MARTIN, s’abat au lieu-dit Le Grand Champ, dans la commune d’Urvillers (Aisne), provoquant également la mort de ses deux occupants. Enfin, bien que blessé par les tirs ennemis, le pilote du Vought n° 12 (AB1.10), l’EV1 Léveillé, parvient à poser son appareil sur le ventre près du village de Gury (Oise) mais son équipier, le SM radio volant Roger, Henri, Charles LAFON, a été tué à son poste alors qu’il ripostait avec sa mitrailleuse.

Le 23 juin 1944 – Au cours d’un vol d’entraînement à basse altitude au large d’Agadir, un Convair PBY-5 Catalina (BuAer 48357 – F-34) de la flottille 6FE heurte la surface de l’eau. Le choc provoque la rupture du fuselage en deux parties qui s’enflamment avant de couler rapidement. Deux des occupants, qui ont été projetés à la mer, sont recueillis par un chalutier espagnol arrivé sur les lieux. Quatre autres membres de l’équipage, le SM2 radio volant Robert, Jacques, Albert DESVERNINE, le SM2 pilote Jean, Pierre HUBIN, le QM1 mécanicien volant Roger, Mathurin MADEC, le SM pilote Louis, François, Marie RUBAUD, disparaissent avec l’appareil. Le corps d’un cinquième, celui du QM1 mécanicien volant Jean-Louis, Tanguy, Marie NÉZOU, est retrouvé le lendemain.

26 mai 1954 – Au cours d’une mission d’attaque de batteries de DCA à l’est de Diên Biên Phu, un Vought AU-1 Corsair de la flottille 14.F (BuAer 129341 – 14.F-2) et piloté par l’OE3 Jean-Baptiste, Gaétan NICODEMO disparaît lors de sa deuxième passe de tir. Les recherches menées par son sectionnaire puis, plus tard, par d’autres appareils, ne donnent rien. L’avion et son pilote semblent avoir été engloutis par la forêt qui entoure l’objectif.

7 mars 1958 – Au cours d’un exercice d’interception de nuit au large de Bizerte, deux Aquilon de la flottille 11.F entrent en collision. L’Aquilon 203 n° 72 du SM2 pilote Joseph KERLEROUX, seul à bord, s’abîme en mer avec son pilote. Dans l’Aquilon 202 n° 38, le LV pilote André, Georges NICOLAS et son passager, un officier contrôleur de l’Armée de l’Air, réussissent à s’éjecter, leur parachute s’ouvrant normalement. Le lendemain pourtant, seul le passager est retrouvé dans son canot de sauvetage.

8 juin 1951 – Un Wellington XI de la flottille 2.F (s/n MP696 – 2.F-8), effectuait un vol d’entraînement de nuit au large de Méhédia (Maroc). Après avoir largué une bombe éclairante, il fait un passage à très basse altitude et, sans redresser, percute la surface de l’eau. L’appareil coule immédiatement entraînant ses six occupants dont aucun corps ne sera retrouvé. L’équipage était composé des CC pilote Paul, Louis BROSSIER, commandant la flottille 2F, Mt radio volant François CALDERONE, LV pilote Pierre, Achille, Camille COLLET, commandant d’aéronef, QM2 armurier de bord Jean-André, Charles FOURNIER, SM2 armurier de bord Maurice, Henri LOISEL et QM2 mécanicien volant Georges, René, Célestin NICOLAS.

29 novembre 1935 – Un CAMS 55 (n° 59) de l’escadrille E5 s’apprêtait à amerrir dans la baie de Saint-Raphaël lorsque, probablement en perte de vitesse, il fait un tour de vrille et s’abat en mer. Quatre des membres de l’équipage, le PM radio volant Louis, Pierre, Marie BUREL, l’EV1 pilote Georges, Marie, Joseph, Armand CHAVANE, chef de bord, le SM mécanicien pilote Guillaume, Jean, Marie NICOLAS et le SM mécanicien volant Henri, Jean LE TIEC, sont tués sur le coup. Deux autres, blessés, sont recueillis par les sauveteurs.

10 août 1956 – Un TBM-3S Avenger de la flottille 4.F (BuAer 85571 – 4.F-11), avait décollé de Karouba en compagnie de deux autres appareils, pour un exercice de bombardement de nuit sur l’île Cani, au large de Bizerte. Compte tenu de l’état de la mer, le chef de patrouille interrompt l’exercice et demande le ralliement des ses ailiers. Un seul des deux le rejoint, le 4.F-11 a disparu et ne répond pas aux appels radio. Les recherches aériennes et maritimes lancées le lendemain et les jours suivants permettent de retrouver deux canots pneumatique de sauvetage mais aucune trace de l’équipage qui était composé du PM mécanicien volant Maurice AYLIÈS, de l’EV1 pilote Jacques, Lucien FRANIATTE, chef de bord, du SM2 radio volant Yves, Martial LAPORTE et du Mt armurier volant Jean NICOLAS.

27 septembre 1946 – Au cours d’un passage à basse altitude sur la rade des Vignettes à Toulon, un Martin 167-A3 (n° 213) de l’escadrille 10S touche la surface de l’eau d’un aile et, déséquilibré, s’écrase quelques centaines de mètres plus loin. Les trois hommes composant l’équipage : le LV Bernard NICOLLE, pilote et chef de bord, le Mt mécanicien volant Georges, Alfred SCHUFT et le Mt radio volant Raymond SCOUR, disparaissent, prisonniers de leur appareil. Leurs corps seront remontés de l’épave quelques jours plus tard par l’équipe de plongeurs du LV J.Y. Cousteau.

2 février 1944 – Ayant décollé de Dakar-Ouakam en fin d’après-midi pour une mission d’escorte de convoi, le Vickers Wellington XI (s/n HZ539 – T) de l’escadrille 5B, l’une des deux composantes de la 2ème flottille de bombardement, émet à 20 h 48 un message annonçant son retour du fait de difficultés de moteur. Sa position est alors de 16° 55’ N et 17° 35’ W. Ce sera son dernier contact et l’appareil ne donnera plus aucune nouvelle. Les recherches lancées le lendemain ne donnent aucun résultat. Aucune épave, si petite soit-elle, n’est aperçue et l’espoir de retrouver des survivants disparaît. L’équipage était composé du QM radio volant Roger, Jean, Raoul ARROUÈS, de l’EV1 de réserve observateur Edouard, Marie, Claude CARTIER-BRESSON, du LV pilote Victor, Jean, Baptiste, Antoine DURANDO, chef de bord, et du QM1 mitrailleur bombardier François, Jules, Désiré, Alfred LEPOITTEVIN, du PM pilote Max, Gustave NIEL, du Mt pilote René, Julien ROY et du SM radio volant Georges VARY.

22 août 1966 – Un Sud Aviation 321G Super Frelon (n° 103) effectuait un vol de convoyage de Marignane à Fréjus – Saint-Raphaël avec un équipage mixte de l’escadrille 20S et de l’ERC. A la hauteur de la commune de Pourrières (Var), il est victime de la rupture d’un manchon d’une pale du rotor principal et, incontrôlable, il s’écrase au lieu-dit La Neuve. Les huit occupants de l’appareil périssent dans l’accident. L’équipage se composait du LV pilote Georges, Marcel, Marie BLONDEAU, du PM mécanicien de bord Paul, Marcel BROUDIN, de l’OPE mécanicien volant Aimé, René DUROUGE, du Mt électronicien de bord André, Auguste, Marie GUAQUÈRE, du PM mécanicien de bord Yves, Louis LE SERREC, du MP mécanicien de bord Maurice, Gérard LUBAIN, du CC pilote Bernard, Edmond NIOGRET, détaché du SC. Aéro, commandant d’aéronef et du PM électronicien de bord Michel, Jacques RAULT.

24 août 1945 – Une formation de SBD-5 Dauntless de la flottille 4FB effectue des entraînements au vol de nuit sur le terrain d’Hyères. Au cours d’un atterrissage, l’appareil du Mt pilote Denis, Alain NOBLET (BuAer 54572, code tactique 172), est percuté par celui qui le suit (codé 169). Le Mt Noblet est tué sur le coup.

27 janvier 1949 – A la suite d’une panne de moteur au décollage du terrain d’Hyères, un Seafire III de l’escadrille 54.S (s/n NN396) s’écrase sur des bâtiments de la base et prend feu. Son pilote, le LV Henri, Marie, Pierre NODET, gravement brûlé, est transporté à l’hôpital Sainte-Anne où il décède quelques heures après son admission.

26 septembre 1940 – Un Loire 130C de la section de surveillance de l’escadrille 4E (n° 22 – 4E.5) avait décollé de la BAN de Dakar-Bel-Air pour reconnaître l’escadre britannique qui attaquait les bâtiments français. A six milles dans le 180 du cap Manuel, il est attaqué par méprise par un Dewoitine 510 de l’armée de l’Air venant de Thiès. Une aile arrachée, l’hydravion s’écrase en mer et coule immédiatement. Avec lui disparaissent trois membres de son équipage, l’EV1 de réserve pilote Louis Eugène CHOLLET, chef de bord, le QM2 radio volant Louis LE DORRÉ et le QM2 mécanicien volant Fernand, René NODIN. Le pilote de l’appareil, le SM Roger, éjecté de son poste, est sauvé par son parachute.

9 juillet 1943 – Le QM1 radio volant Charles, Eugène NOLD, de l’Ecole du personnel volant d’Agadir, est mortellement blessé dans l’accident à l’atterrissage d’un Potez 63.11.

7 mai 1986 – Au cours d’une mission d’entraînement à la reconnaissance à basse altitude sur la Bretagne et la Normandie, le réacteur d’un Etendard IVP (n° 103) de la flottille 16F prend feu. L’appareil s’engage ensuite dans une vrille que se termine par l’écrasement sur la territoire de la commune de Saint-Pierre-du-Jonquet (Calvados). Le pilote, l’EV1 Loïc, Claude, Marie RODIER s’éjecte mais à trop basse altitude pour permettre l’ouverture de son parachute.

10 mars 1981 – Quelques instants après avoir décollé de l’aérodrome de Hahaya à Moroni dans l’archipel des Comores, un Atlantic n° (29) de la flottille 23F est victime d’un incendie de moteur. Hors de contrôle, il s’écrase près de la localité de M’Boudé, tuant ses dix-huit occupants. En plus de son équipage normal, l’appareil transportait une équipe technique d’entretien. L’équipage était composé du Mt électronicien de bord Patrick, Elie, Etienne BAUDOIN, de l’EV1 pilote Jean-Yves, Georges CISTAC, du PM électronicien de bord Alain, Henri, Jean-Baptiste DEMAISON, du Mt électronicien de bord Dominique, Jean, Etienne FAURE, du PM électronicien de bord Serge, Lucien LAPP, de l’EV1 navigateur aérien et coordonnateur tactique Olivier, Marie, Gérard, Henri de LASSUS SAINT-GENIÈS, du Mt électronicien de bord Dominique, Bernard, Marie MOISDON, du Mt navigateur Jean-Claude, Joseph MONTFORT, du LV pilote Philippe, René, Pierre MOUGENOT, commandant d’aéronef, du MP mécanicien de bord Eugène, Jean, Yves NORMANT, du Mt navigateur Eric, Claude, Daniel PÉRAUDEAU, du Mt mécanicien de bord Michel, Louis, Jacques RÉNIER, du SM2 électronicien de bord Patrick, Louis, Adrien, Henri ROUSSEAU et du SM2 radio de bord François-Xavier WINTERHALTER. L’équipe technique se composait du SM électromécanicien d’aéronautique Jean-Louis AUDREN, du PM mécanicien d’aéronautique Yves HENNEQUART, du QM1 électronicien d’aéronautique Bertrand, Pierre LION et du QM1 électronicien d’équipement Eric LOURENÇO.

12 juillet 1976 – Deux hélicoptères SA 316B Alouette III de l’escadrille 27S chargée de la surveillance du centre d’expérimentations nucléaires de Mururoa (Polynésie Française) entrent en collision au cours d’un vol de groupe au-dessus de l’atoll et s’abattent dans le lagon. Les quatre membres d’équipage, le PM électronicien de bord Georges, Raphaël, Roura NOUVEAU et l’EV1 de réserve pilote Daniel, Raymond, André WEYL dans l’appareil n° 1594 et le Mt mécanicien de bord, plongeur Roger, Etienne, Jean CHAIX et le PM pilote Jean-Pierre SIMON de KERGUNIC dans l’appareil n° 1602, trouvent la mort dans l’accident.

10 février 1986 – Un hélicoptère SA 321G Super Frelon (n° 159) de la flottille 33F, transportait d’Hyères à Capo Teulada, en Sardaigne, un groupe de fusiliers commandos devant participer à un exercice international. A 30 milles au NE d’Ajaccio (42° 21’ N et 45° 05’ E), l’appareil est pris dans une tempête de neige qui provoque l’arrêt successif de deux de ses turbines. Contraint à un amerrissage de fortune, l’hélicoptère ne peut résister à la violence des vagues et coule en quelques minutes. Lorsque malgré les éléments déchaînés, les secours peuvent arriver, des quatorze hommes qui se trouvaient à bord, un seul, le PM fusilier commando Grossman a survécu.

L’équipage de l’hélicoptère était composé du Mt mécanicien de bord William, Gilbert, Henri BARATHIER, de l’EV1 pilote Pierre, Ange BERTORA, du Mt mécanicien d’aéronautique Michel COYEZ, du PM pilote Bertrand HOFF, commandant d’aéronef, , du Mt mécanicien de bord Daniel, Bernard, Honoré LELONG, du SM2 mécanicien d’équipement Henri, François MICHALSKI, du LV pilote Pascal, René NOUVEL, officier en second de la flottille et du PM mécanicien de bord Jean, Michel TARIS. Les cinq passagers fusiliers commandos, également décédés, étaient le CC Jean-François ROBIDAIRE, l’Asp de réserve Aimery, Annet, Marie, Joseph d’OIRON, les SM Michel, Jean, Patrice GEFFRAULT, Loïc GUILLARD et Gilles François PETIT.

10 août 1918 – Parti pour une mission de surveillance ASM au large, un hydravion Lévy Besson 200ch (n° 118 – CH.30) du CAM de Cherbourg ne rentre pas à sa base. Les recherches menées ne fournissent aucun indice et l’appareil est porté disparu. Son équipage, composé du QM mécanicien pilote Marcel, Gustave LEFÈVRE, et du SM mécanicien observateur Dominique, Célestin NOVEL, est présumé mort en mer.

18 juillet 1918 – Le S/Lt Arcady NOVOCIELOFF, du 1er Régiment Etranger, élève pilote à l’école de pilotage du CAM d’Hourtin, est mortellement blessé dans la chute dans l’étang, d’un hydravion FBA 130ch.

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