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Mémorial G

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26 avril 1944 – Quelques minutes après son décollage du plan d’eau de Dakar-Bel-Air, pour une mission de nuit d’escorte de convoi et alors qu’il vient de survoler l’île de Gorée, un Short Sunderland III (s/n DV985 – I) de la flottille 7FE, est victime d’une explosion interne et s’écrase en flamme. Le lendemain, seuls trois corps seront retrouvés parmi les débris flottants à la surface. L’équipage était composé de l’EV1 de réserve observateur George BONDON, chef de bord, l’EV1 de réserve Paul, Edouard, Etienne BOUVEYRON, observateur, le QM1 mécanicien volant Germain, René, Clément COSSET, le Mt mécanicien volant Théodore, Pierre, Armand GABOU, le SM2 pilote Gabriel, Bernard, Joseph, Léopold GIMAT, le QM2 radio volant René, Charles, Joseph GUILLOU, le QM mitrailleur bombardier Louis, Alexandre, Yves, Marie LE CORFEC, le SM mécanicien volant René, Marcel LE HENRY, le SM2 pilote Louis, Georges, Honoré LEROY, le Mot2 mitrailleur bombardier Roger, Sylvestre MARTIN, le Mt radio volant François, Marie OFFRET, le QM2 radio volant Gaston, Paul, Ernest PARA et le QM2 radio volant Maurice, Marcel RABIER.

23 juin 1940 – L’équipage du Bloch MB 480 n° 01 de l’escadrille de la CEPA, a reçu l’ordre d’évacuation vers l’AFN. Après avoir décollé d’Hourtin, il se pose sur l’étang de Balaruc (Aude) Hérault) pour y compléter les pleins avant la traversée de la Méditerranée. En courte finale d’amerrissage, l’appareil, présenté trop bas, heurte un muret de ses flotteurs et capote. Les occupants se dégagent rapidement de l’épave mais le PM radio volant Edouard, Jean-Marie GABY, probablement assommé lors du choc, périt noyé.

13 février 1960 – Pendant une mission d’appui à des troupes terrestres dans la région de Charrier, près de Saïda (Algérie), un hélicoptère Sikorsky HSS-1 de la flottille 33.F (codé 33.F-3) est atteint par des tirs rebelles qui blessent grièvement le SM1 armurier de bord Emilien, Louis GADON. Transporté immédiatement à l’hôpital de Sidi-Bel-Abbès, il y décède le 17.

7 mai 1919 – L’EV1 Xavier, Marie, Félix GAIFFE, du CAM de Berre, en stage à l’école de pilotage de l’Aéronautique militaire d’Istres, effectue un de ses premiers vols en solo lorsque son Caudron G.3 tombe dans l’étang de Berre. Gravement blessé, l’EV Gaiffe décède quelques heures plus tard après son transport à l’infirmerie.

10 novembre 1943 – Un Caudron Simoun (n° 364) de la BAN de Thiersville, pris par le mauvais temps au cours d’une liaison entre Alger et Bizerte, s’abat dans la région d’Aïn Souda, à environ 30 kilomètres à l’ouest de Souk Ahras (Algérie). Quatre de ses occupants, le CF pilote Antoine, Henri, Jean de GAIL, l’OPE pilote Pierre REUNGOAT, le QM mécanicien volant Marcel, Jean-Baptiste, Ange TANGUY et le Lt/Col GOUNOUILHOU de l’armée de Terre, sont tués sur le coup ou décèdent pendant leur évacuation vers l’hôpital de Souk Ahras. Un cinquième est gravement blessé mais survivra

2 février 1917 – L’EV2 Jean, Henri, Joseph, André de GAIL, du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, élève pilote à l’école de l’Aviation militaire de Chartres, est victime d’un accident mortel au cours d’un de ses premiers vols en solo. Son appareil, en perte de vitesse, s’abat sur le territoire de Gellainville (Eure-et-Loir), au lieu-dit Le Champtier de Hautes Foux, le tuant sur le coup.

28 juin 1941 – Une formation de six Martin 167-A3 décolle de Madjaloun (Liban). Elle est composée de trois appareil des l’escadrille 6B et trois autres de la 7B. La mission assignée est de bombarder deux cols qui dominent Palmyre (Syrie), où la garnison française résiste aux attaques des troupes du Commonwealth. Le bombardement s’effectue normalement mais, au retour, la petite formation est interceptée par une vingtaine de Curtiss Tomahawk de la RAAF. Le combat est inégal et, l’un après l’autre, les bimoteurs français succombent avec, dans la plupart des cas, la mort de l’ensemble de leurs équipages. En quelques minutes, seize officiers, officiers mariniers et quartiers-maîtres vont périr et il n’y aura que quatre survivants. La composition des équipages était la suivante :

N° 41 – 6B.3 : Mt mitrailleur bombardier Mathurin, Marie LE BOULAIRE, SM radio volant Louis, Joseph LE ROLLAND, EV1 pilote Marcellin GISBERT, faisant fonction d’observateur et LV pilote François, Xavier, Paul, Martial ZIEGLER, commandant l’escadrille 6B et chef de bord.

N° 93 – 6B.4 : QM2 radio volant Ferdinand, Léon BIEVER, QM2 mitrailleur bombardier Henri LE MARRE, Mt pilote Paul, Simon, Nicolas MONJOIN et EV1 pilote Aymond, Marie, Jean, André PLAYE, chef de bord et navigateur.

N° 204 – 6B.6 : SM1 pilote Lucien HELF, EV1 pilote Pierre, Jean LACOSTE, chef de bord et navigateur, SM2 radio volant Jean, Aimé LE DÛ, QM2 mitrailleur bombardier Eugène, Henri, Pierre, Marie PELLÉ.

N° 58 – 7B.4 : QM1 radio volant Victor, François, Alain BOURHIS, SM2 pilote Robert, Gustave, Sylvain CÉRÉSUÉLA, OE2 pilote Georges, Corentin, Marie LE FRIANT, chef de bord et observateur et QM1 radio volant André, Yves, Marie ROLLAND.

N° 274 – 7B.5 : QM1 mécanicien volant François, Marie LIBOUBAN, QM2 radio volant François, Henri, Victor PARMENTIER, sont tués en vol par les tirs des chasseurs australiens. Le LV Francis Lainé, pilote et chef de bord et l’EV1 Pierre Massicot, observateur, survivent, gravement blessés, à l’atterrissage forcé de leur appareil.

N° 21 – 7B.6 : LV pilote Joseph, Charles, Jean de GAIL, chef de bord et observateur et QM radio volant Louis, Alphonse THIOT. Deux membres de l’équipage, le MT pilote Raymond Sarrotte et le SM mitrailleur bombardier Clotaire Guéret, réussissent à sauter en parachute.

 

10 octobre 1917 – Au cours d’une ascension dans le goulet de Brest, le QM électricien observateur de captif Pierre, Joseph GAILLERY est grièvement blessé dans la chute de la nacelle de son ballon. Evacué vers l’hôpital maritime de Brest, il y décède peu après son arrivée.

10 septembre 1930 – Au cours d’un vol d’entraînement par nuit lunaire, un Morane Saulnier 130 (n° 40) de la SLE d’Orly, se met en vrille et s’abat sur le terrain. Ses deux occupants, grièvement blessés, sont transportés à l’hôpital du Val de Grâce à Paris où ils décèdent tous les deux, le QM mécanicien volant Jean, Baptiste GALAU presque immédiatement après son arrivée, et le LV pilote Georges, Marie, Athanase O’NEILL, une semaine plus tard, le 17.

27 juillet 1944 – Quelques semaines avant de rentrer au Maroc, un Convair PBY-5 Catalina (BuAer 46561 – 8F.2) de la flottille 8FE décolle de la base de Norfolk (Virginie) aux Etats-Unis pour un vol d’entraînement au large. Plus rien n’est ensuite connu de l’appareil ni de ses occupants. Les recherches lancées à l’aide d’avions, hydravions et dirigeables, ne donnent aucun résultat et tout espoir de retrouver des survivants est abandonné. L’équipage était constitué du SM2 pilote Louis, Maxime, Mario CHAUVET (qui servait sous le nom de guerre de Robert, Claude LOUP), du Mt radio volant Paul, Joseph, Armand FIÉ, du QM radio volant Paul DUVAL, de l’OE2 pilote Robert, Kléber GALIÈGUE, chef de bord, de l’Asp de réserve observateur Isadel GELLER, du Mt mécanicien volant Louis, Désiré LEFÈVRE, du QM1 mitrailleur bombardier Adrien, Marie LE GONNIDEC, du Mt mitrailleur bombardier Auguste, Désiré LEMEUR et du QM2 mécanicien volant Pierre, Paul SARRAMIAC.

28 novembre 1939 – Peu de temps après avoir décollé de l’étang, un CAMS 37E (n° 80) de l’école de pilotage du CEAN d’Hourtin s’abat en vrille dès la côte franchie. A son bord, trois élèves pilotes, le Mot2 mécanicien Henri, Paul, Marie, Augustin GALLAIS, les QM mécaniciens d’aéronautique Robert, Marcel JEAN et Adolphe, Raymond, Pierre MIETTEun moniteur et un moniteur, le SM pilote Alfred, Charles SENENTZ. Seul le corps du QM Miette sera retrouvé, les trois autres occupants sont portés disparus, présumés morts en mer.

6 novembre 1964 – Le SM2 pilote Didier, Jean, Jacques GALLAND de la flottille 15F devait effectuer un vol à grande vitesse. Du fait de mauvaises conditions météorologiques, la mission est annulée et ordre est donné au pilote de rentrer à Istres. Son appareil, l’Etendard IVM n° 28, est ensuite vu en piqué de plus en plus accentué avant de percuter la mer devant le lieu-dit La Palissade, aux Salins-de-Giraud, dans la commune d’Arles. Le pilote a tenté de s’éjecter mais à trop basse altitude pour permettre au parachute de s’ouvrir.

21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes :

– 40 membres de l’équipage : Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT. 

– 10 passagers : le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON.

22 octobre 1925 – Un Farman 65 Goliath (n° 214), de l’escadrille 5B3 stationnée au CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, est victime d’un accident à l’atterrissage. dans l’étang de Berre. Trois de ses membres d’équipage, les QM mécanicien volant Lucien, Emile, Antoine BERNIN, QM arrimeur pilote Raoul, Paul, Louis GALY et Mot sans spécialité Emile PICAUD, sont tués sur le coup. Le 4è homme est sauvé de la noyade par l’EV1 Giraud du CAM de Berre.

18 septembre 1956 – A la suite d’une panne du circuit hydraulique, un TBM 3S Avenger de la flottille 9.F (BuAer 85524 – 9.F-4) s’abat en mer immédiatement après avoir décollé du porte-avions Arromanches au large de Toulon. L’équipage parvient à évacuer à l’exception du SM2 navigateur aérien Alain, Joseph GAONACH qui ne peut se dégager du fuselage et disparaît avec l’appareil.

29 septembre 1917 – Au cours d’un vol d’entraînement, le SM mécanicien Ernest, Joseph, Julien GARCIN, élève pilote au CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, est mortellement blessé dans la chute en mer de son hydravion.

9 novembre 1928 – Alors qu’il décolle pour un vol de liaison vers Istres un Caudron 59 de l’Escadrille d’instruction du CAM de Rochefort est victime d’une panne de moteur et, en perte de vitesse, s’abat sur le terrain de Soubise (Charente-Inférieure). Ses deux occupants, l’EV1 élève pilote Frédéric, René, Jacques GARNIER et le LV pilote André, Joseph UNVOAS, sont tués sur le coup.

31 juillet 1917 – Un hydravion Donnet-Denhaut du CAM de Bizerte s’abat en vrille sur le lac. L’observateur est sauvé par une vedette venue du centre mais le QM mécanicien pilote Michel, Claude GARNIER, qui a été projeté à l’eau à l’impact, est retrouvé noyé quelques instants plus tard.

21 avril 1925 – Le Mot2 timonier Rémy, Georges GARRELON du CAM de Berre, élève pilote à l’école de pilotage de l’Aéronautique militaire d’Istres, est gravement blessé dans la chute de son Breguet 14. Transporté à l’hôpital militaire de Marseille, il y décède le 23.

10 juin 1982 – Au cours d’un vol d’entraînement, l’OT1 pilote Hubert, Jean-Louis GASCON, affecté à l’ERC et en stage à la flottille 14F, est perdu de vue par son chef de patrouille dans une zone de très mauvaise visibilité. L’appareil, le Super-Etendard n° 36, percute la mer à environ 9 milles dans le 310° de l’île de Batz (Finistère). Aucune trace de l’appareil ni de son pilote ne sera retrouvée.

21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes :

– 40 membres de l’équipage : Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT. 

– 10 passagers : le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON.

23 octobre 1957 – Un Sunderland V de la flottille 27.F (s/n SZ576 – 27.F-5) de Dakar, en déplacement à Port-Etienne en Mauritanie, décolle pour un exercice de navigation nocturne. La mission terminée, l’appareil se présente à l’amerrissage qui est particulièrement violent. Après deux rebonds, le nez s’engage dans l’eau et l’hydravion capote. La coque se brise en trois morceaux dont deux coulent rapidement. Seule la voilure retournée flotte encore. Sept membres de l’équipage, plus ou moins gravement blessés, sont repêchés par les secours. L’un d’entre eux, le SM2 mécanicien volant Lucien, Pierre LALOUX décède le 24 à l’hôpital de Port-Etienne. Le corps du SM1 armurier de bord Alexis, Albert, Alain LE BARS est retrouvé le lendemain de l’accident, mais ceux des trois autres hommes, le PM radariste volant René, Pierre GASPARD, le LV pilote Pierre, Emile, Gabriel KERBLAT, chef de bord, et le SM2 navigateur Gérard, Francis, Marcel MARC, ne seront pas retrouvés.

11 juin 1940 – Les Latécoère 298 de l’escadrille T3 ont quitté Hourtin pour rejoindre Berre. A mi-chemin, en traversant une zone nuageuse extrêmement dense, l’escadrille est dissociée. Un appareil réussit à amerrir sur la Garonne à Toulouse mais ses flotteurs sont fauchés par un câble traversier, l’équipage est cependant sauf. Ceux de deux autres appareils n’auront pas cette chance. Un Latécoère (codé T3.6) percute une colline au lieu-dit La Nerrière, dans la commune de Saint-Salvy-la-Balme (Tarn). Le QM2 mécanicien volant Robert, Jean, Léon GASTON est tué sur le coup. Les deux autres membres de l’équipage, le SM2 pilote Marcel LE LOUARN et le Mt radio volant Gabriel TANGUY, grièvement blessés, sont évacués vers l’hôpital de Castres. Le répit sera malheureusement court car il y décèdent tous les deux, Tanguy le 12 et Le Louarn le 13.

22 septembre 1941 – Evadés de Bizerte vers Malte en 1940 à bord d’un Loire 130, le SM pilote Georges, Gaudérique BLAIZE et le QM mécanicien volant Raoul GATIEN se sont engagés dans la RAF avec respectivement les grades de Flight Sergeant et Sergeant. Affectés au Squadron 69, ils disparaissent en mer après un amerrissage forcé au retour d’une mission de reconnaissance sur la Sicile à bord d’un hydravion Heinkel 115 ex-norvégien (s/n BV115). Avec eux disparaît également un officier observateur de la FAA.

18 février 1954 – Un Junkers 52 de l’escadrille 4.S (n° 1015 – 4S.5), avait décollé de la BAN de Lartigue pour transporter à Karouba l’échelon d’accompagnement de la Flottille 6.F en déplacement sur cette base. Du fait de très mauvaises conditions météorologiques, l’appareil est contraint de se dérouter et reçoit l’ordre de rejoindre El Aouina, l’aérodrome de Tunis. En voulant atteindre cette nouvelle destination par le sud ouest, l’avion percute un sommet noyé dans la brume, au lieu-dit Kef Ed Dhoua, dans le djebel Lahimer, près de Zaghouan, à 45 kilomètres au sud de Tunis. Les quatre membres de l’équipage, le MP mécanicien volant Roger, Prosper, Pierre BERTIN, l’EV1 de réserve pilote Robert EVEN, chef de bord, le SM2 pilote Michel, Georges, Marcel HAUSS et le Mt radio volant René, André, Charles, Auguste LELIONNAIS ainsi que les onze passagers transportés, qui étaient tous affectés à la flottille 6.F, le QM2 mécanicien d’aéronautique Louis, Emile ANDRÉ, le Mot1 mécanicien d’aéronautique René, Paul, Georges ANTOMARCHI,le Mot2 mécanicien d’aéronautique André, Alexandre, Joseph, Marie CHEVAL, le SM2 mécanicien d’aéronautique Ygnacio, Antoine DE LABACA, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Joseph, Marie DILER, le SM2 mécanicien d’aéronautique Robert, Edouard, Pierre, Marie GAUDEL, l’EV2 de réserve André, Paul JAQUEMIN, le QM2 mécanicien d’aéronautique Pierre, Victor, Raymond LE BOULICAUT, le SM2 mécanicien d’aéronautique Bernard, Louis, Marie LE MANCQ, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Raymond, Aimé, Paul LE SAULNIER et le Mot3 armurier d’aéronautique Maurice, René, Pol ROUYER, périssent tous dans la catastrophe.

28 avril 1918 – Parti du CAM de Rochefort pour un vol en ballon libre, le SM de manœuvre observateur de captif Stanislas, Jean, Louis GAUDIN, du CBC de Royan, est grièvement blessé à l’atterrissage dans la région de Montpellier (Hérault). Transporté à l’hôpital de cette ville, il y décède quelques heures après son admission.

28 novembre 1958 – Deux F4U-7 Corsair de la flottille 14.F effectuent un vol d’entraînement. Au cours du regroupement pour une passe d’attaque, l’avion du sectionnaire (BuAer 133699 – 14.F-5) l’EV1 pilote Georges, Firmin CAILLET entre en collision avec celui du chef de patrouille (BuAer 133829), l’OE3 pilote Louis, Robert GAUME. Les deux appareils s’abattent sur le territoire de la commune de Cavalaire-sur-Mer (Var), tuant leurs pilotes.

3 juin 1938 – Le MP pilote Louis, Marcel GAUTHIER, du CEAM d’Hourtin, effectuait un de ses derniers vol à bord d’un FBA 17HE2 avant de quitter la Marine. Pour une raison inconnue, l’hydravion se met en vrille à basse altitude et s’écrase sur l’étang. Grièvement blessé, le pilote est transporté à l’hôpital de Villenave-d’Ornon (Gironde) où il décède quelques heures plus tard.

12 avril 1954 – Alors qu’il arrivait pour bombarder des concentrations viêt minh autour du point d’appui «Anne Marie» dans la cuvette de Diên Biên Phu, un PB4Y Privateer de la flottille 28.F (BuAer 59774 – 28.F-4), est atteint de plein fouet par les tirs de la DCA et s’écrase au sol. Les neuf membres de l’équipage, le SM2 armurier de bord Serge, Aimé BOURSON, le SM2 radio volant Marc, Christian CHAIGNE, le SM2 radio volant Jackie, Robert GIULIANO, le SM2 pilote Guy, Joseph, André GAUTHIEZ, le SM2 mécanicien de bord Charles ILTIS, l’EV1 pilote Alexis MANFANOVSKY, chef de bord, le SM2 armurier de bord Jean, Hyacinthe PAUMIER, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Edmond PUYJALINET et le SM2 navigateur Hervé, Marie, Ernest RUELLO KERMELIN, sont portés disparus, présumés tués dans la chute de leur appareil.

17 octobre 1951 – Une section de trois Curtiss SB2C Helldiver de la flottille 3.F a pour mission de bombarder un pont routier sur la RC 4 au sud de That Khé (Tonkin). Arrivé sur l’objectif, le LV Pierre, Maurice, Jean GAUTRIAUD, chef de patrouille, amorce son piqué mais il est immédiatement pris à partie et touché par la DCA viêt-minh. L’appareil (BuAer 83341 – 3.F-3) s’écrase à 150 m du pont entraînant son pilote dans la mort ainsi que son équipier, le SM1 photographe volant Jean, François, Marie JACQ.

21 janvier 1982 – Un Douglas C-54 (n° 49 148) de l’escadrille 9S basée sur l’aérodrome de La Tontouta, en Nouvelle Calédonie, effectuait un vol d’entraînement aux décollages et atterrissages de nuit. Pour une raison indéterminée, il s’écrase sur les flancs du mont Kokoreta, au lieu-dit Bangou, dans la commune de Païta. Il n’y a aucun survivant parmi les sept occupants de l’appareil. L’équipage était composé du LV pilote Guy, Alain, Marie CELTON, commandant d’aéronef, du MP pilote Marcel, Daniel, François, Denis CRUSSON, du PM électronicien de bord Jean, Daniel DECOUDU, du Mt mécanicien volant Paul, Léon GAVARD-PIVET, du PM mécanicien de bord Bernard, Louis, Joseph, Marie LE FURAUT, du MP mécanicien volant Monroë, Jacques PODLESNIK et du PM navigateur Claude, François WULLAERT.

27 octobre 1947 – Au cours d’une mission de bombardement dans la région de Ninh Binh, près de Gia Lam (Tonkin), un SBD-5 Dauntless de la flottille 4.F (BuAer 36756 – 4.F-15) ne rentre pas à sa base. Aucune trace de l’appareil et de ses deux hommes d’équipage ne sera découverte. L’EV2 de réserve pilote Yves, Simon GAY et le SM2 mitrailleur bombardier Marin CADET, sont portés disparus.

26 septembre 1917 – Partis pour une reconnaissance au large à bord d’un hydravion Donnet-Denhaut 150ch (n° 280 – R.6) du CAM d’Oran, le Mot1 mécanicien pilote Georges, Léon CHIRPAZ et le SM mécanicien observateur Jean GEAY, ne rentrent pas à leur base. Ils sont portés disparus, présumés morts en mer.

14 avril 1952 – A l’appontage au retour de mission sur le porte-avions Arromanches en Baie de Lan Ha, au Tonkin, le pilote d’un F6F-5 Hellcat de la flottille 1.F (BuAer 77728 – 1.F-7) rate les brins, passe au-dessus des deux barrières et s’écrase sur les appareils parqués à l’avant du pont. L’accident fait quatre tués, le SM2 pilote André, Désiré GEFFROY qui venait d’apponter et n’avait pas encore quitté son Hellcat (BuAer 78179 – 1.F-26), le SM1 mécanicien volant René, Pierre MIGNOT de la flottille 3.F, faisant office de directeur de rangement et les Mot2 de pont d’envol Michel, Octave BLANC et Jean-Charles GIRAULT de l’équipage du bâtiment. Trois autres matelots sont gravement blessés mais ils survivront.

27 juillet 1944 – Quelques semaines avant de rentrer au Maroc, un Convair PBY-5 Catalina (BuAer 46561 – 8F.2) de la flottille 8FE décolle de la base de Norfolk (Virginie) aux Etats-Unis pour un vol d’entraînement au large. Plus rien n’est ensuite connu de l’appareil ni de ses occupants. Les recherches lancées à l’aide d’avions, hydravions et dirigeables, ne donnent aucun résultat et tout espoir de retrouver des survivants est abandonné. L’équipage était constitué du SM2 pilote Louis, Maxime, Mario CHAUVET (qui servait sous le nom de guerre de Robert, Claude LOUP), du Mt radio volant Paul, Joseph, Armand FIÉ, du QM radio volant Paul DUVAL, de l’OE2 pilote Robert, Kléber GALIÈGUE, chef de bord, de l’Asp de réserve observateur Isadel GELLER, du Mt mécanicien volant Louis, Désiré LEFÈVRE, du QM1 mitrailleur bombardier Adrien, Marie LE GONNIDEC, du Mt mitrailleur bombardier Auguste, Désiré LEMEUR et du QM2 mécanicien volant Pierre, Paul SARRAMIAC.

21 mai 1929 – L’EV1 de réserve pilote Jean, Joseph GENEST, et l’EV1 pilote Robert, Alexandre, Henri PELTIER effectuaient un vol d’entraînement à la voltige à bord d’un Morane Saulnier 130 (n° 5) du cours de chasse du CAM Fréjus – Saint-Raphaël. A l’issue d’une vrille non récupérée, l’appareil s’écrase dans le quartier de Valescure, tuant ses deux occupants.

10 février 1952 – A neuf milles environ dans le 315° du feu de Réam, au Cambodge, un Sea Otter I de l’escadrille 9.S, (s/n JN122 – 9.S-8) est contraint à un amerrissage forcé à la suite d’une panne de moteur. La houle est forte et, après un rebond, l’appareil se brise en deux parties. Le SM2 armurier volant Henri, Félix GENTIL, assis à son poste, est tué net par un morceau de pale de l’hélice qui a éclaté. Les trois autres membres de l’équipage parviennent à évacuer l’appareil avant qu’il ne coule et, bien que blessés, à gagner la plage proche à la nage.

24 octobre 1967 – Voulant interrompre son décollage d’Hyères aux commandes d’un Etendard IVP (n° 109) de l’escadrille 59S, le SM1 pilote Jean-Paul, Marie GÉRARD réduit son réacteur, sort le parachute-frein mais la crosse, sortie trop tard, n’accroche pas les brins en fin de piste. L’appareil sort de la piste et percute une construction, le pilote est tué sur le coup.

18 juin 1940 – Un bimoteur Caudron Goéland (n° 209), évacué du cours de perfectionnement de Lanvéoc-Poulmic, s’apprête à atterrir sur l’aérodrome de Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne). Dans le dernier virage, l’appareil se met en perte de vitesse, effectue un tour de vrille et s’écrase au sol au lieu-dit La Grace. Ses trois occupants, le Mt pilote Pierre GÉRARD, le Mot2 mécanicien d’aéronautique René, Félix DAVAU et le QM radio volant Gaétan, Marie, Barbe MARIÉMA, périssent dans l’accident.

24 octobre 1918 – Parti pour une mission de surveillance en mer, un hydravion Tellier 200ch canon (n° 63 – O.23) du CAM de Corfou (Grèce), ne rentre pas à sa base. Avec lui a disparu son équipage composé du SM de manœuvre pilote André BOUCHER et du Mot1 mécanicien observateur Roger, Edmond, Fleury GÉRARD.

8 février 1945 – Au cours d’une mission de bombardement en piqué, le Douglas SBD-5 Dauntless (BuAer 54581, code tactique 173) de la flottille 4FB est abattu par la Flack et s’écrase au lieu-dit La Passe, dans la commune d’Etaules (Charente-Inférieure). Ses deux hommes d’équipage, le Mt pilote Vincent, Paul GEROLD et le QM2 radio volant André, Alfred GUÉNANEN, sont tués sur le coup.

14 avril 1932 – Au cours d’un entraînement à l’appontage sur le porte-avions Béarn, au large des îles du Levant (Var), un Levasseur PL 4 (n° 28) de la SEBA, est déporté sur tribord, heurte la grue et tombe à la mer. Le pilote, l’EV1 Marcel, Aimé, Jean GERVAIS, prisonnier de la voilure supérieure qui s’est affaissé, meurt noyé. Son passager est indemne.

19 janvier 1962 – Un hélicoptère Sikorsky HSS-1 (n° SA.147) de l’escadrille 20.S de Fréjus – Saint-Raphaël effectuait un vol d’expérimentation. Une rupture dans les commandes du rotor principal le rend incontrôlable et il s’abîme dans la baie de Saint-Raphaël. Deux des membres de son équipage, le PM pilote Alexandre, Alphonse, Pierre CAMBRAY et l’ouvrier d’état, expérimentateur civil Jacques GIACHINO sont tués sur le coup. Le troisième, le PM pilote Anthoine, gravement blessé, est hélitreuillé par un autre HSS-1 rapidement arrivé sur les lieux de l’accident.

27 octobre 1917 – Au retour d’une reconnaissance en mer, un FBA 150ch (n° 537) du PC du cap Janet (Bouches-du-Rhône), capote à l’amerrissage. Les deux occupants, le QM mécanicien observateur Augustin, Maurice GIBASSIER et le QM canonnier pilote Jean MARTIN, sont gravement blessés et transportés à l’hôpital militaire où ils décèdent peu après leur admission.

8 juin 1942 – Commandant la Marine en Nouvelle-Calédonie, le CC pilote Jean, Clovis, Alexandre GILBERT se rend à Melbourne (Australie) pour participer à une réunion interalliée. A Auckland (Nouvelle-Zélande), il prend passage à bord d’un Boeing B-17E (n° 41-2667) de l’USAAC qui doit l’amener à destination. Le bombardier américain s’écrase sitôt après son décollage, tuant tous ses occupants.

24 aout 1916 – Un Voisin “canon” de l’escadrille VC 110 de l’Aéronautique militaire est victime d’une panne de moteur au décollage du terrain de Malzéville (54) et s’écrase au sol.Le canonnier, le QM fusilier Edmond GILLARD est tué sur le coup. Le pilote s’en tire avec des blessures légères.

13 décembre 1916 – Parti pour un vol entre Bizerte et Bône (Algérie), un Donnet-Denhaut 150ch (n° 61 – B.4) n’arrive pas à destination. Un observateur côtier signale avoir vu amerrir un hydravion au large du cap Rosa près de La Calle mais les recherches menées ne permettent pas de retrouver de traces de l’appareil ni de son équipage qui était composé du Mot mécanicien observateur Raoul, Denis DANIEL et du QM de manœuvre pilote Henri, Georges GILLE.

26 avril 1944 – Quelques minutes après son décollage du plan d’eau de Dakar-Bel-Air, pour une mission de nuit d’escorte de convoi et alors qu’il vient de survoler l’île de Gorée, un Short Sunderland III (s/n DV985 – I) de la flottille 7FE, est victime d’une explosion interne et s’écrase en flamme. Le lendemain, seuls trois corps seront retrouvés parmi les débris flottants à la surface. L’équipage était composé de l’EV1 de réserve observateur George BONDON, chef de bord, l’EV1 de réserve Paul, Edouard, Etienne BOUVEYRON, observateur, le QM1 mécanicien volant Germain, René, Clément COSSET, le Mt mécanicien volant Théodore, Pierre, Armand GABOU, le SM2 pilote Gabriel, Bernard, Joseph, Léopold GIMAT, le QM2 radio volant René, Charles, Joseph GUILLOU, le QM mitrailleur bombardier Louis, Alexandre, Yves, Marie LE CORFEC, le SM mécanicien volant René, Marcel LE HENRY, le SM2 pilote Louis, Georges, Honoré LEROY, le Mot2 mitrailleur bombardier Roger, Sylvestre MARTIN, le Mt radio volant François, Marie OFFRET, le QM2 radio volant Gaston, Paul, Ernest PARA et le QM2 radio volant Maurice, Marcel RABIER.

18 juillet 1933 – Alors qu’il décolle de Saint-Mandrier pour regagner Fréjus – Saint-Raphaël, un Besson MB 41 (n° 01), petit hydravion prototype destiné à être embarqué sur le sous-marin Surcouf, est pris par une lame et capote. Les deux occupants, le LV pilote Edmond Le Blanc et le SM mécanicien volant Raphaël, Jacques, Edouard GIOAN, sont recueillis gravement blessés et évacués vers l’infirmerie de la BAN où ce dernier décède quelques heures plus tard. Du fait de la gravité de ses blessures, le LV Le Blanc sera contraint à quitter l’Aviation maritime.

31 janvier 1955 – Sitôt après avoir décollé pour un vol d’entraînement, un TBM 3S2 Avenger (BuAer 91418) de la NAS de Kingsville, Texas, est victime d’une perte de vitesse et s’écrase en bout de piste. Son pilote, le QM2 Jean, Marie, Robert GIRARD, est tué sur le coup.

7 juin 1966 – Venant de l’aérodrome de Faaa à Tahiti, le LV Claude, Georges GIRAUD, aux commandes d’un Etendard IVP (n° 116) de la flottille 15F, est en circuit d’attente avant appontage sur le Foch lorsqu’il est percuté par un Etendard IVM (n° 59). Son appareil s’écrase en mer dans la passe de Vairao, sans tentative d’éjection par le pilote. L’autre appareil, bien qu’endommagé, parvient à regagner l’aérodrome de Faaa.

28 juin 1941 – Une formation de six Martin 167-A3 décolle de Madjaloun (Liban). Elle est composée de trois appareil des l’escadrille 6B et trois autres de la 7B. La mission assignée est de bombarder deux cols qui dominent Palmyre (Syrie), où la garnison française résiste aux attaques des troupes du Commonwealth. Le bombardement s’effectue normalement mais, au retour, la petite formation est interceptée par une vingtaine de Curtiss Tomahawk de la RAAF. Le combat est inégal et, l’un après l’autre, les bimoteurs français succombent avec, dans la plupart des cas, la mort de l’ensemble de leurs équipages. En quelques minutes, seize officiers, officiers mariniers et quartiers-maîtres vont périr et il n’y aura que quatre survivants. La composition des équipages était la suivante :

N° 41 – 6B.3 : Mt mitrailleur bombardier Mathurin, Marie LE BOULAIRE, SM radio volant Louis, Joseph LE ROLLAND, EV1 pilote Marcellin GISBERT, faisant fonction d’observateur et LV pilote François, Xavier, Paul, Martial ZIEGLER, commandant l’escadrille 6B et chef de bord.

N° 93 – 6B.4 : QM2 radio volant Ferdinand, Léon BIEVER, QM2 mitrailleur bombardier Henri LE MARRE, Mt pilote Paul, Simon, Nicolas MONJOIN et EV1 pilote Aymond, Marie, Jean, André PLAYE, chef de bord et navigateur.

N° 204 – 6B.6 : SM1 pilote Lucien HELF, EV1 pilote Pierre, Jean LACOSTE, chef de bord et navigateur, SM2 radio volant Jean, Aimé LE DÛ, QM2 mitrailleur bombardier Eugène, Henri, Pierre, Marie PELLÉ.

N° 58 – 7B.4 : QM1 radio volant Victor, François, Alain BOURHIS, SM2 pilote Robert, Gustave, Sylvain CÉRÉSUÉLA, OE2 pilote Georges, Corentin, Marie LE FRIANT, chef de bord et observateur et QM1 radio volant André, Yves, Marie ROLLAND.

N° 274 – 7B.5 : QM1 mécanicien volant François, Marie LIBOUBAN, QM2 radio volant François, Henri, Victor PARMENTIER, sont tués en vol par les tirs des chasseurs australiens. Le LV Francis Lainé, pilote et chef de bord et l’EV1 Pierre Massicot, observateur, survivent, gravement blessés, à l’atterrissage forcé de leur appareil.

N° 21 – 7B.6 : LV pilote Joseph, Charles, Jean de GAIL, chef de bord et observateur et QM radio volant Louis, Alphonse THIOT. Deux membres de l’équipage, le MT pilote Raymond Sarrotte et le SM mitrailleur bombardier Clotaire Guéret, réussissent à sauter en parachute.

 

17 août 1917 – En tentant un amerrissage forcé dans la baie de Porto-Farina, près de Tunis, un Donnet-Denhaut 150ch (n° 242 – H.2) du CAM de Bizerte est accidenté. Lorsque les secours arrivent, ses deux hommes d’équipage, le Mt électricien pilote Joseph, Antoine GUILIANI et le QM fusilier observateur François, Marie JAFFRO, sont retrouvés noyés.

12 avril 1954 – Alors qu’il arrivait pour bombarder des concentrations viêt minh autour du point d’appui «Anne Marie» dans la cuvette de Diên Biên Phu, un PB4Y Privateer de la flottille 28.F (BuAer 59774 – 28.F-4), est atteint de plein fouet par les tirs de la DCA et s’écrase au sol. Les neuf membres de l’équipage, le SM2 armurier de bord Serge, Aimé BOURSON, le SM2 radio volant Marc, Christian CHAIGNE, le SM2 radio volant Jackie, Robert GIULIANO, le SM2 pilote Guy, Joseph, André GAUTHIEZ, le SM2 mécanicien de bord Charles ILTIS, l’EV1 pilote Alexis MANFANOVSKY, chef de bord, le SM2 armurier de bord Jean, Hyacinthe PAUMIER, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Edmond PUYJALINET et le SM2 navigateur Hervé, Marie, Ernest RUELLO KERMELIN, sont portés disparus, présumés tués dans la chute de leur appareil.

24 octobre 1934 – Pris dans une bourrasque, un Farman 168 Goliath (n° 190 – SR22), de l’escadrille de la CEPA de Fréjus – Saint-Raphaël, s’abat au sol au lieu-dit Le Barnier, dans la commune de Frontignan (Hérault). Deux membres de son équipage, le PM pilote Georges, Louis ALLÈGRE et le QM mécanicien volant Lucien, Joseph GLASSER, sont tués sur le coup. Trois autres, le LV Colas des Francs, l’EV Jacquart et le PM radio volant Lavalou, ne souffrent que de blessures légères.

23 août 1940 – Alors qu’il s’apprête à amerrir en rade de Toulon, un Loire 130 (n° 40 – 4HS.5) du croiseur Gloire se met en perte de vitesse et, en vrille, s’abat dans l’eau. Ses trois membres d’équipage, le Mt mécanicien d’aéronautique Guillaume, Georges, Marie GLOAGUEN, l’Asp de réserve observateur Roger, Louis, Jacques, Victor LACOLEY et le Mt pilote Jules, Léon, Philippe THOMAS, sont tués dans la chute de leur appareil.

24 juin 1936 – Un CAMS 37E et un CAMS 37A de la section d’entraînement de Cherbourg effectuent un vol d’entraînement en formation serrée. Au cours d’un virage, les deux appareils entrent en collision et s’abattent au hameau Brécourt, dans la commune de Hainneville (Manche), tuant leurs cinq occupants. Sur le CAMS 37E (n° 11 – CB.24) : LV pilote Maurice GOALARD, chef de le Section d’entraînement, SM mécanicien volant Auguste, Louis, Albert LEPELLEY et Mot arrimeur Jean, Louis, Paul, Marie SALAÜN. Sur le CAMS 37A (n° 107 – CB 30) : QM arrimeur pilote Roger, Bernard MAIRE qui effectuait une période de réserve et QM mécanicien volant Guy, Jean, Charles MASSIEU.

23 septembre 1925 – Au cours d’une mission de bombardement de la ville de Chefchaoued, dans le massif du Rif (Maroc), un Farman 60 Goliath (n° 133 – 5B2.5), de l’escadrille 5B2, est porté disparu. Son équipage était composé des : QM arrimeur pilote Maurice, Eugène, Charles, Théodore DUSSOLON, QM radio volant François, Jean-Louis GOARNIGOU, SM pilote Etienne, François, Henri MARCHAU, SM mitrailleur bombardier Clet, Marie RIOU, et Mot mécanicien d’aéronautique Jean-Louis SÉGALEN. Certains corps ne seront retrouvés qu’en 1929.

20 septembre 1968 – Pendant le salon de l’aéronautique de Farnborough, en Angleterre, un Atlantic (n° 43) est présenté en vol. Au cours d’un passage à basse altitude, turbine gauche stoppée, hélice en drapeau, l’appareil s’engage dans un virage à gauche, décroche et s’écrase sur un bâtiment. Les cinq membres de l’équipage, le Mt électronicien de bord Raoul, Joseph, Louis BÉQUIER, l’OE1 pilote Gilles, Marcel, Dosité DURAND, le SM1 mécanicien de bord André, Charles GOASGUEN, l’EV2 navigateur Christian, Paul, Charles LEMAIRE et le CC pilote Jean-Yves, Pierre, Marie SAINT M’LEUX du SC Aéro, et commandant d’aéronef, sont tués sur le coup. Tous, à par le commandant d’aéronef, appartenaient à la flottille 22F.

19 mai 1940 – Les escadrilles de bombardement en piqué AB2 et AB4, basées à Berck (Pas-de-Calais) ont reçu pour mission d’attaquer un rassemblement de véhicules et de blindés au carrefour routier de Berlaimont dans le Nord. Lorsque les vingt Loire-Nieuport arrivent sur l’objectif, ils sont accueillis par les tirs nourris de la Flak légère qui vont provoquer de lourdes pertes. Sur les vingt pilotes engagés, neuf ne rentreront pas à leur base dont trois trouveront la mort. Le Mt pilote Louis, Jules, Gabriel PASCAL est tué sur le coup lorsque son LN 401 (n° 11 – AB2.9), désemparé, s’écrase verticalement dans la pâture dite de Zulmar Cartignies, dans la commune de Landrecies (Nord). Le Mt pilote Eloi, Raoul, Georges TÉOULET de l’AB4 est mortellement blessé en vol à bord de son LN 411 (n° 3 – AB4.3). L’appareil se pose seul au lieu-dit Champ Garnier, dans la commune de Fontaine-au-Bois (Nord). Le SM2 pilote Auguste François GOASGUEN qui a pu échapper au piège de la Flak, est abattu par erreur à Etreux (Aisne) par la DCA française. Son LN 411 (n° 11 – AB4.11), s’écrase en feu sur une maison, le tuant sur le coup.

16 mai 1928 – A la suite de l’incendie d’un de ses moteurs et en tentant d’atterrir en urgence, un Farman 65 Goliath (4B2.11) de l’escadrille 4B2 basée à Karouba, s’écrase au sol à Bordj Poil, à 8 kilomètres au nord d’El Ariana, près de Tunis. L’équipage composé du Mot2 arrimeur pilote Jean, Albert, Marcel ARROUAYS, de l’Asp de réserve observateur Jean-Louis, Marie, André BÉZARD, chef de bord, du QM radio volant Henri, Joseph GOBERT, du SM mécanicien pilote Georges, Louis, René PAPIN et du QM mécanicien volant Paul ROHR, périt tout entier dans l’accident.

20 avril 1917 – Un Donnet-Denhaut 150ch (n° 46 – H.16) du CAM de Toulon – Saint-Mandrier, est accidenté en rade. Les Mot1 mécaniciens observateurs Joseph, Victor, Augustin SILVY et Marius, Auguste, Joseph VIDAL sont tués sur le coup. Le QM chauffeur pilote Jean, Jacques, François GODEY, décède à l’infirmerie de Saint-Mandrier où il avait été transporté.

9 avril 1991 – Un hélicoptère WG 13 Lynx (n° 805) de la flottille 34F effectue un vol d’entraînement à la navigation à basse altitude lorsqu’il est heurté en vol par un Mirage 2000 N de l’armée de l’Air. Désemparé, il s’écrase au sol au lieu-dit Collièze, dans la commune de Cros (Puy-de-Dôme). Tous ses occupants sont tués. L’équipage était constitué de l’EV1 Gilles, Raymond ATOUTEMPS, pilote et commandant d’aéronef, du PM pilote Philippe, Georges, Robert CHOUMARA, du QM1 électromécanicien d’aéronautique Stéphane, Philippe, Lucien GOERGER. du PM mécanicien d’aéronautique plongeur Eric, Louis, Raymond LEMASSON, du Mt mécanicien d’aéronautique Frédéric, Marie, Edmond, Octave MAILLAUD et du Mt électronicien de bord Denis, Jean MARTINEZ et L’accident fait également deux autres victimes, le Mt mécanicien Yann TILLY et le QM mécanicien Hervé MATTEI, de la frégate De Grasse.

1er janvier 1945 – Une formation de Douglas SBD-5 Dauntless de la flottille 4FB attaque en piqué un bâtiment allemand mouillé à Bonne-Anse sur la commune des Mathes (Charente-Inférieure). La bombe de 1 000 livres de l’appareil (BuAer 54544, code tactique 176) du QM2 radio volant Michel, Lucien CHAUVIN et de l’OE2 pilote Paul, Alphonse GOFFENY, s’arme prématurément et explose alors qu’elle est toujours accrochée à la fourche du lance-bombes. Avec ses deux occupants très probablement tués en vol par la déflagration, l’avion s’écrase et prend feu.

17 septembre 1963 – Lors d’un catapultage sur le porte-avions Foch au large de Porquerolles, la rupture d’un croc de l’élingue empêche un Dassault Etendard IVM (n° 24) de la flottille 11.F d’avoir une vitesse de sustentation suffisante. L’appareil s’abat en mer et disparaît en entraînant son pilote, le PM Pierre, André, Fernand GOIZET qui n’a pu se dégager.

11 décembre 1916 – En dernier virage avant d’atterrir sur le terrain de Saint-Pol-sur-Mer, un Nieuport XVII (n° 1784 – SP.4) de l’escadrille de chasse terrestre du CAM de Dunkerque, se met en perte de vitesse et, après deux tours de vrille, s’abat dans le port. Le lendemain, à marée basse, l’appareil est ramené à la plage et le corps de son pilote, le S/Lt Alexandre, Sacha GOMBERG, détaché du 2ème Régiment de Marche de la Légion Etrangère, découvert toujours assis sur son siège, est emmené à l’infirmerie du centre.

2 juillet 1947 – Immédiatement après avoir décollé de la BAN de Lartigue-Tafaraoui pour un vol d’instruction d’élèves radios volants, un AVRO Anson I de l’escadrille 52.S (s/n LT831 – 52.S-38), s’écrase près du douar Ouardia à 2 kilomètres environ de la base. Trois de ses occupants, l’EV1 pilote Robert, Georges GOSSELIN, chef de bord, le Mot2 élève radio volant Bernard LABORDE et l’IM3 volant de réserve Pierre, Marie, Bernard, François ROUSSEAU, sont tués dans l’accident. Quatre autres subissent des blessures diverses mais non mortelles.

30 juin 1916 – En mission de recherche de sous-marins aux alentours de l’île Zembra (Tunisie), à l’ouest du cap Bon, l’EV1 auxiliaire André, Simon GOUMAUD, pilote d’un hydravion FBA 100ch (n° 135 – B.2) du CAM de Bizerte est contraint à un amerrissage forcé. La mer est grosse et l’hydravion capote. L’observateur, qui a été projeté à l’eau, est recueilli une heure plus tard par le torpilleur Cavalier mais le pilote, prisonnier de la coque retournée, est mort noyé.

21 mai 1957 – En mission de reconnaissance armée à basse altitude dans la région de Batna (Algérie), le P4Y Privateer de la flottille 28.F (BuAer 59870 – 28.F-4) basée à Karouba, suit une vallée entre le djebel Hanar et le djebel El-Affrou. Des courants rabattants violents l’empêchent de prendre une altitude suffisante pour s’en dégager et il s’écrase en pleine zone rebelle. Six des douze membres de l’équipage, le SM1 mécanicien de bord Jean CARIOU, le Mot1 mécanicien d’aéronautique René, Valentin, Yves, Raymond DELÉPINE, le SM2 navigateur aérien François, Marie GOURMELON, le SM1 radio volant Jacques, Roger GRANET, le SM2 mécanicien volant Michel, Ghislain MATON et le SM2 radio volant Gérard, Raymond ROUX, sont tués sur le coup. L’EV2 de réserve navigateur Jacques, Charles, Henri KERVELLA, grièvement blessé, est achevé par des rebelles arrivés les premiers à l’épave. Deux survivants, l’EV1 pilote Claude, Alexis SURET, chef de bord et le SM2 radariste volant René, François, Marie JOSSE sont emmenés par les rebelles et probablement assassinés sommairement plus tard. Trois autres survivants, qui avaient pu se cacher dans une grotte proche des lieux de la chute de leur appareil, seront récupérés le lendemain par les troupes amies.

24 novembre 1943 – Au cours d’un vol d’entraînement au grenadage à basse altitude, près de l’île de Gorée devant Dakar, un Vickers Wellington IX (s/n MP691 – 22) de l’escadrille 5B (2ème flottille), touche la mer d’une aile. Au choc, l’appareil se casse en deux parties qui coulent immédiatement, entraînant avec elles le Mt pilote Hervé GOUZIEN et le SM1 mécanicien volant Ernest, Jean, Emmanuel RAOUL dont les corps ne seront pas retrouvés. Trois survivants, blessés, sont sauvés par des indigènes arrivés en pirogues.

Le 17 juillet 1943 – Au cours d’un vol d’entraînement à la navigation à partir de la base de Pensacola en Floride, un Convair PBY-5 Catalina (BuAer 2972) de l’US Navy disparaît corps et bien dans le golfe du Mexique. Parmi les huit occupants de l’appareil se trouvaient les EV1 de réserve élèves pilotes, Bertrand, Marie, Joseph, Benoît DUBREUIL et Jean-Pierre, André GRAILLE du groupe aéronaval d’instruction des FNFL aux Etats-Unis.

10 juin 1940 – Au cours d’une mission de bombardement sur le pont ferroviaire de Noyelles (Somme), un Latécoère 298 (n° 14) de l’escadrille T3, disparaît en baie de Seine. Rien ne sera retrouvé de l’appareil, ni de l’équipage qui se composait du Mt pilote André, Georges, Gaston GRAND et du QM radio volant Georges, Charles, Roger TANGUY.

10 octobre 1917 – Partis pour une mission de recherche de sous-marins, deux hydravions FBA 150ch du CAM de Perpignan ne rentrent pas à leur base. Ils sont vus pour la dernière fois au large de Cette (actuelle Sète, dans l’Hérault) et il est probable que l’un des deux hydravions a été victime d’une panne et que l’autre qui a amerri pour lui porter secours, n’a pas pu repartir. Les quatre membres d’équipage, le Mot1 mécanicien observateur Pierre, François ANDRIÈS, le QM mécanicien observateur André BOLLE, le QM fourrier pilote Roger, Marius GRANDVAL et le Lt pilote Calixte, Léon, René MESGUICH, détaché de l’Aéronautique militaire, sont portés disparus.

21 mai 1957 – En mission de reconnaissance armée à basse altitude dans la région de Batna (Algérie), le P4Y Privateer de la flottille 28.F (BuAer 59870 – 28.F-4) basée à Karouba, suit une vallée entre le djebel Hanar et le djebel El-Affrou. Des courants rabattants violents l’empêchent de prendre une altitude suffisante pour s’en dégager et il s’écrase en pleine zone rebelle. Six des douze membres de l’équipage, le SM1 mécanicien de bord Jean CARIOU, le Mot1 mécanicien d’aéronautique René, Valentin, Yves, Raymond DELÉPINE, le SM2 navigateur aérien François, Marie GOURMELON, le SM1 radio volant Jacques, Roger GRANET, le SM2 mécanicien volant Michel, Ghislain MATON et le SM2 radio volant Gérard, Raymond ROUX, sont tués sur le coup. L’EV2 de réserve navigateur Jacques, Charles, Henri KERVELLA, grièvement blessé, est achevé par des rebelles arrivés les premiers à l’épave. Deux survivants, l’EV1 pilote Claude, Alexis SURET, chef de bord et le SM2 radariste volant René, François, Marie JOSSE sont emmenés par les rebelles et probablement assassinés sommairement plus tard. Trois autres survivants, qui avaient pu se cacher dans une grotte proche des lieux de la chute de leur appareil, seront récupérés le lendemain par les troupes amies.

22 mai 1941 – Ancien QM2 radio volant de l’Aéronautique navale, Raymond, Lucien, Marie GRANIER, sert dans la FAA sous le nom de George GRANT en qualité de Petty Officer TAG (Telegraphist Air Gunner). Au cours d’un vol à bord d’un Fairey Albacore (s/n N4256) du Squadron 785, il disparaît en mer au large d’Arbroath (Ecosse). Avec lui disparaissent les deux autres membres de son équipage.

Cf. GRANIER Raymond, Lucien, Marie

23 mars 1954 – Au retour d’un vol en formation de nuit, le LV pilote Bernard, Joseph, Marie, Barthélemy GRAS, commandant la flottille 15.F, se pose sur la piste de Karouba-Sidi Ahmed aux commandes d’un Vought F4U-7 Corsair (BuAer 133673 – 15.F-4). En fin de roulement, le moteur cale, immobilisant l’appareil. Les six Corsair suivants parviennent à l’éviter, mais le dernier (BuAer 133684 – 14.F-6) le percute de plein fouet. Le LV Gras qui était sorti de son habitacle est tué sur le coup par l’hélice de l’avion percuteur.

12 mars 1924 – Au décollage de la Charente à Rochefort, un hydravion Lioré et Olivier H13.6 de l’Ecole du personnel volant d’Hourtin (codé H.03) embarque un flotteur et capote. Le QM mécanicien d’aéronautique Roger GRELAUD est tué sur le coup. Les deux autres occupants, le QM mécanicien pilote Gabriel, Fernand CRETIN et le LV observateur François, Jean PERRICHON, commandant du CAM d’Hourtin, grièvement blessés sont transportés à l’hôpital maritime de Rochefort où le LV Perrichon décède quelques heures plus tard. Le QM Cretin survivra lui, jusqu’au 12 avril.

11 mars 1979 – Au large de la Sicile, le porte-avions Clemenceau s’apprête à lancer un Etendard IVM (n° 6) de la flottille 17F. A la suite du déclenchement intempestif de la catapulte, l’appareil tombe à la mer et disparaît, entraînant son pilote le LV Patrick, Henri, Pierre MANAUD, et faisant deux autres victimes parmi le personnel évoluant sur le pont d’envol, le Mt mécanicien d’aéronautique Alain Jean, Paul, GRELOT, chef de piste de la flottille et le Mt de manœuvre Patrick, Olympe, André, Léon DELEMER de l’équipage du bâtiment. Six autres marins sont plus ou moins gravement blessés.

8 janvier 1929 – Un équipage de l’escadrille de la CEPA effectue un dernier vol d’essai de l’hydravion prototype SPCA Paulhan-Pillard (n° 01). Alors qu’il survole de Lion de Mer dans la baie de Saint-Raphaël, l’appareil pique brusquement du nez, percute la surface de l’eau et s’engloutit. Les cinq membres de l’équipage, le LV pilote Roger, Louis, Marie, Robert CAMPARDON, chef de bord, le QM mécanicien volant Marcel, Emile, Julien, Ernest FOUCRAY, le Mt mécanicien volant Lucien, Louis GRESSIN, le QM mitrailleur bombardier Jean-Baptiste, Louis RENAUD et le LV observateur Joseph, Marie, Louis, Vincent REQUIN, disparaissent dans la chute de leur appareil. Un seul corps, celui du LV Requin, sera retrouvé.

30 mars 1932 – Au cours d’un vol d’entraînement à la voltige au-dessus du terrain de Sidi Ahmed, un Nieuport NiD 62 de l’escadrille 4C1 s’engage dans une vrille à plat dont le pilote ne parvient pas à l’en sortir. Ce dernier, le SM mécanicien pilote Pierre, Julien, Louis GRIÈS, est tué sur le coup dans la chute de son appareil.

29 novembre 1983 – Après avoir déposé dans le port de Beyrouth des passagers provenant du Clemenceau, un hélicoptère Westland WG.13 Lynx (n° 277), de la flottille 31F regagne de nuit la frégate Dupleix croisant au large. A 2 milles dans le 320° du ra’s Beyrouth, l’hélicoptère s’abat brusquement en mer. Ses trois hommes d’équipage, l’EV1 pilote Pierre, Joseph GRILLI, le PM électronicien de bord Christian, Jean, Antoine, Henri OWSIANKA, et le MP pilote Bernard, Yves, Marie TANGUY,, commandant d’aéronef, trouvent la mort dans l’accident.

15 septembre 1955 – Une section « hunter-killer » de deux TBM Avenger de la flottille 9.F décolle d’Aspretto pour un entraînement ASM de nuit sur la côte Est de la Corse. En traversant l’île pour rejoindre la côte orientale, les deux appareils percutent un sommet. L’accident s’est produit au lieu-dit Tranzicone, dans la commune d’Olivese. Lorsque les secours arrivent il n’y a plus rien à faire, sept hommes viennent de perdre la vie.

Equipage du TBM 3W (BuAer 85954 – 9.F-13), le Mt radio volant Jean, Rolland BARRAU, le SM2 navigateur Christian, André LETELLIER, l’EV2 de réserve navigateur Jean, André PONTILLON et l’OE3 pilote Roger, Charles VAZEILLE.

Equipage du TBM 3S (BuAer 91448 – 9.F-6), le SM2 mécanicien de bord Marcel, Paul CULTY, le Mt armurier de bord Yves GRILLOT et le SM2 pilote Jean LE BERRE.

23 janvier 1952 – Alors qu’il participait à un exercice avec l’escadre de la Méditerranée au large du cap Camarat (Var), un SB2C Helldiver de l’escadrille 3.S (BuAer 83558 – 3.S-8) perd brusquement de l’altitude, se met en vrille et percute la mer, presque à plat. Il flotte quelque secondes puis disparaît de la surface. Les recherches entreprises par les bâtiments présents sur zone ne donnent aucun résultat. L’équipage, composé de l’EV1 de réserve pilote Bernard, André GRISEL et du QM2 radio volant Etienne SLIVINSKI est porté disparu, présumé mort en mer.

10 mars 1939 – En tentant de rejoindre le terrain de Lanvéoc noyé dans la brume, un Levasseur PL 7 (n° 24 – AB1.2) de l’escadrille AB1 percute un pylône au sommet de la montagne de Locronan (Finistère) et s’écrase au sol. Trois des membres de son équipage, le QM1 mécanicien volant Raymond Bernard, Georges CHAPERON, le SM pilote André, Albert, Auguste CHESNEL et le QM mitrailleur bombardier Roger GRONON,, sont tués le coup. Un quatrième, le QM René Pouliquen, bien que sérieusement brûlé, échappe à la mort.

22 juillet 1949 – A l’occasion du séjour au Maroc du croiseur-école Jeanne d’Arc, divers exercices sont organisés au profit des officiers élèves présents à bord, dont une sortie en vol sur trois PBY-5 Catalina de l’escadrille 22.S alors stationnée à Agadir. Quelque temps après le décollage des trois appareils, tout contact est perdu avec l’un d’entre eux (BuAer 46564 – 22.S-3). Les recherches menées par les autres Catalina, aidés par le sous-marin Astrée, ne permettent de trouver aucune trace de l’appareil et des ses passagers. L’équipage du Catalina était composé du SM2 radio volant Robert, Joseph BRETON, du Mt mitrailleur bombardier Jean FÈVRE, du SM2 mécanicien volant Rolland, Moïse GROSMAITRE, du Mt pilote René HUIBAN, des SM2 mécaniciens volants Gabriel, Jean LE BOT et Louis, François MOY, du SM2 radio volant Jean, Marcel RAIGNE, de l’EV1 de réserve pilote Michel, Raymond, Louis ROUVIÈRE, chef de bord et du Mt pilote Pierre, Jean, Louis TOUZET. Les officiers-élèves passagers étaient les EV2 Daniel AUBRON, Louis, Bernard, Marie AUDIC, Jean, Louis, Marie, Michel COUËTOUX, Louis, Julien DAUTRY, Claude JAFFRÈS, André, Albert ROBERT, Gonzague, Pierre, Marie, Bernard GALOUZEAU de VILLEPIN et l’IGM3 Michel, Henri, André NOÉ.

12 janvier 1998 – S’apprêtant à se poser sur la BAN de Nîmes-Garons, un Alizé (n° 64) de la flottille 6F est victime d’un incendie de turbine. Le pilote essaie d’atterrir sur une route près de Caissargues (Gard) mais heurte un pylône, puis un véhicule débouchant d’une transversale. Le SM radariste/navigateur Nicolas, Pierre, Henri LEMAIRE est tué sur le coup, le pilote, l’EV1 Eric GRUZYNSKI, gravement brûlé, est évacué vers l’hôpital de Montpellier où il décède le 13. Le conducteur du véhicule heurté a également été tué sur le coup. Le radariste, troisième membre d’équipage, se sort indemne de l’accident.

22 août 1966 – Un Sud Aviation 321G Super Frelon (n° 103) effectuait un vol de convoyage de Marignane à Fréjus – Saint-Raphaël avec un équipage mixte de l’escadrille 20S et de l’ERC. A la hauteur de la commune de Pourrières (Var), il est victime de la rupture d’un manchon d’une pale du rotor principal et, incontrôlable, il s’écrase au lieu-dit La Neuve. Les huit occupants de l’appareil périssent dans l’accident. L’équipage se composait du LV pilote Georges, Marcel, Marie BLONDEAU, du PM mécanicien de bord Paul, Marcel BROUDIN, de l’OPE mécanicien volant Aimé, René DUROUGE, du Mt électronicien de bord André, Auguste, Marie GUAQUÈRE, du PM mécanicien de bord Yves, Louis LE SERREC, du MP mécanicien de bord Maurice, Gérard LUBAIN, du CC pilote Bernard, Edmond NIOGRET, détaché du SC. Aéro, commandant d’aéronef et du PM électronicien de bord Michel, Jacques RAULT.

7 mars 1918 – Au cours d’un vol d’essai, un hydravion de chasse Hanriot HD 2 (n° 231 – D.36) du CAM de Dunkerque, piloté par le Mt de manœuvre Louis, Auguste, Eugène GUÉGAN, pique brusquement d’une hauteur de 150 m, s’abat au sol et prend feu. Des militaires britanniques présents sur les lieux de l’accident parviennent à éteindre l’incendie avec du sable et à dégager le pilote mais il est trop tard et c’est un corps sans vie qui est évacué vers l’hôpital de Rosendaël.

12 mars 1952 – Un Junkers 52 de l’escadrille 4.S (n° 1025 – 4.S-5) qui effectuait une liaison de Lartigue vers Karouba, percute un sommet noyé dans le brouillard près du col du Mélab, dans la commune mixte de Collo (Algérie). Ses trois hommes d’équipage, le PM pilote Michel, Jean, François GUÉGUEN, le SM mécanicien volant Louis, Maximin, Joseph MICHEL et le SM2 radio volant Irénée, Célestin, Félix THÉBAULT, sont tués sur la coup.

23 août 1918 – Immédiatement après son décollage pour une mission de reconnaissance, un hydravion Donnet-Denhaut 150ch (n° 681 – G.16) du CAM de Platéali (Grèce), s’abat en vrille dans la rade. Les deux occupants de l’appareil, l’EV2 observateur Louis, Maxime GUÉLARD et le QM mécanicien pilote Eugène, Robert POTIRON, sont tués sur le coup.

8 février 1945 – Au cours d’une mission de bombardement en piqué, le Douglas SBD-5 Dauntless (BuAer 54581, code tactique 173) de la flottille 4FB est abattu par la Flack et s’écrase au lieu-dit La Passe, dans la commune d’Etaules (Charente-Inférieure). Ses deux hommes d’équipage, le Mt pilote Vincent, Paul GEROLD et le QM2 radio volant André, Alfred GUÉNANEN, sont tués sur le coup.

13 mars 1967 – Un P2V-7 Neptune (BuAer 147565) de la flottille 24F avait décollé de la BAN de Lann Bihoué pour une mission de nuit de soutien ASM. Un dernier contact radar et radio avec l’escorteur d’escadre Surcouf vers 21 h 45, le situe en mer d’Iroise, à 40 milles environ dans le 235° du phare d’Ar-Men (Finistère). L’appareil ne donne ensuite plus signe de vie. Les recherches intensives aériennes et maritimes menées les jours suivants permettent de retrouver un seul corps, celui de l’officier coordonnateur tactique. Les autres occupants de l’appareil sont portés disparus, présumés morts en mer. L’équipage était composé du PM électronicien de bord Léopold, Alfred CLAULIN, du PM mécanicien de bord François, Marie CONAN et Raymond, Léon, René COUTURIER, du SM2 mécanicien volant Louis, Yvon DELANNOY, du Mt électronicien de bord Bernard, François, Jean-Marie GUÉNÉGAN, de l’EV2 navigateur Jacques, Bruno, Yves GUILLEMETTE, du Mt électronicien de bord Joseph, Raymond, Alban HELLIOT, du LV de réserve navigateur Jean-François, Marie LUCAS, coordonnateur tactique, du Mt navigateur Michel, Jean MAURIN du Mt électronicien de bord Jean-Claude, Emile, Yves, Louis PLÉDEL, du Mt pilote Guy, Jean, Roger STIVALET, du LV pilote Thadée, Yves, Marie, François, Léopold TYL, commandant d’aéronef et du Mt électronicien de bord et Joseph, André, Jacques VANPEENE.

16 septembre 1949 – Un hydravion Sunderland III de la flottille 7.F (s/n ML851 – 7.F-1) a décollé du plan d’eau de la BAN de Dakar-Bel-Air pour un exercice de grenadage réel. Quelques instants plus tard, une explosion sourde est signalée à environ 17 milles dans le 273° du feu des Almadies et, au même instant, l’appareil cesse ses émissions radios. Les secours dépêchés immédiatement découvrent des débris épars au milieu desquels flottent des corps. Il n’y a bien entendu aucun survivant. L’hypothèse la plus vraisemblable est que l’une des grenades a explosé prématurément au contact avec l’eau alors que l’appareil volait à basse altitude. L’équipage était composé de dix hommes, le SM2 radio volant Marc, Alexandre AUBERT, le SM2 mitrailleur bombardier Jean, Auguste, Pierre BUSSIÈRES, le SM2 mécanicien volant Robert CORVAISIER, l’EV1 de réserve pilote Jean DUPIN, l’IM1 volant Jean GUÉNÉGUÈS, Mt pilote Léon, Marie HAMON, l’EV1 de réserve pilote Louis, Romain MARMONIER, commandant d’aéronef, le QM2 électricien d’aéronautique François, Jean MÉVEL, le QM2 mécanicien volant Raymond, Lucien, Joseph MOUGIN et le QM2 armurier d’aéronautique Lucien, André PIERRE.

26 septembre 1962 – Un Breguet Alizé (n° 77) de la flottille 4.F est victime d’un accident à l’appontage sur le porte-avions Clemenceau au large d’Hyères et tombe à la mer. Deux membres de l’équipage parviennent à se dégager et sont repêchés par l’hélicoptère de sauvegarde. Les deux autres, le Mt radio volant Georges BERNARD et le Mt pilote Gérard, Albert, Hippolyte GUÉRIN, probablement inconscients après le choc, disparaissent avec l’appareil.

28 mai 1947 – Au cours d’un vol de liaison, entre Issy-les-Moulineaux et Les Mureaux, un Morane Saulnier 500 de la SES des Mureaux (n° 583 – PA.14) est victime d’une panne de moteur. En tentant un atterrissage de fortune, l’appareil se met en perte de vitesse et s’écrase au sol dans la commune de Rueil-Malmaison (Seine-et-Oise). Ses trois occupants, le PM pilote Marcel, Pierre, Henri CHABAUD, le LV pilote Christian, Marie, Amblard, Louis, Félix de GUERRY de BEAUREGARD et l’IM1 volant René, Lucien SOUTOUL, sont tués sur le coup.

22 novembre 1939 – Immédiatement après avoir décollé de la BAN de Lanvéoc aux commandes d’un Vought 156F (n° 16) de l’escadrille AB1, le SM2 pilote André, Louis GUESNÉ affecté à la SESBA, est victime d’une panne de moteur. Son appareil s’abat dans l’anse du Poulmic et, probablement assommé par le choc, il meurt noyé. Son équipier en place arrière est indemne.

2 juin 1967 – Au cours d’un vol en formation de plusieurs Sikorsky HSS-1 de la flottille 33F en transit de Lann Bihoué à Saint-Mandrier, l’appareil BuAer 58681 s’abat pour une raison indéterminée dans un champ de vignes au lieu-dit Breacou dans la commune de Servian (Hérault). Deux membres de l’équipage, le Mt pilote Jacques, Alain, Bruno BLONDEAU et le LV de réserve pilote Alain, Paul, Lucien GUESPIN, commandant d’aéronef, sont tués sur le coup. Les autres occupants, blessés pour la plupart, survivent à l’accident.

22 novembre 1935 – Alors qu’il survole à basse altitude la rade de Cherbourg, un Latécoère 290 (1T1.3) de l’escadrille 1T1 heurte le câble d’un ballon captif et tombe à la mer. L’EV1 Jean, Joseph, Marie GUÉZENNEC, pilote et chef de bord, est tué sur le coup. Les trois autres membres de l’équipage, bien que blessés, peuvent se dégager de l’épave et sont récupérés par des embarcations.

3 janvier 1923 – Le PM fusilier observateur Marie, Ange, François GUILLET est mortellement blessé dans le capotage à l’amerrissage d’un hydravion Georges Lévy 300ch (n° 156) du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël. L’autre occupant de l’appareil, le Mot1 mécanicien pilote Louis, André GUIBERT, grièvement blessé, est transporté à l’hôpital de Fréjus où il décède le lendemain.

12 août 1945 – En essayant de percer la couche nuageuse pour amerrir sur le lac de Constance, un Latécoère 298 de l’escadrille 3S (n° 49 – 3S.1), percute une colline près de la localité d’Uhldingen à 12 kilomètres au nord-ouest d’Immenstaad (Allemagne). Ses trois occupants, le SM2 pilote Joseph, Corentin, Marie GUICHAOUA le LV pilote Jacques, Marie PIERRET, commandant l’escadrille 3S, et le Mt mécanicien volant Guillaume, Nicolas, Jean-Marie SELLIN, trouvent la mort dans l’accident.

31 août 1967 – Parti de la base de la RAF de Kinloss en Ecosse, un Atlantic (n° 39) de la flottille 22F participait à un exercice en mer au large du Groenland. A la suite d’ennuis techniques, le chef de bord décide de regagner son terrain de départ. Gêné par la brume, il percute un sommet sur l’île du Prins Karl, dans l’archipel du Spitzberg (Norvège). Les débris de l’appareil sont retrouvés le 2 septembre par un hélicoptère soviétique et, parmi eux, les corps des onze membres de l’équipage qui était composé de l’OE2 navigateur aérien Maurice, Urbain CORDIER, coordonnateur tactique, du PM mécanicien volant André, Jean CROUX, du Mt navigateur aérien André DAMY, du Mt électronicien de bord Claude, Alain, Joseph GUICHARD, du PM pilote Jean, Pierre, Hughes, Edouard HAESSLEIN, du Mt navigateur aérien Albert, Henri LAPORTE, des Mt électroniciens de bord Jean-Paul LE VIAVANT et Jacques, Léon, François MORIN, de l’OE1 pilote Claude, Auguste RAGUIN, chef de bord, du Mt électronicien de bord François, Louis REUNGOAT et du SM mécanicien volant Michel, Valentin, Pierre, Marie STÉPHANO.

4 août 1943 – Décollant du terrain de Dakar-Ouakam pour une mission de protection de convoi, un Lockheed Hudson IIIA (s/n FH336 – 1BR.III) de l’escadrille 1BR est victime d’une perte de puissance des moteurs, s’écrase et prend feu. Ses cinq hommes d’équipage, l’EV1pilote Marcel, Pierre, Henri DOUXAMI, chef de bord, l’EV1 de réserve observateur François GUICHARD, le SM1 mécanicien volant Yves, Jean NÉDELEC, le QM2 mitrailleur bombardier Jean, Joseph, Marie RIO et le SM2 radio volant Henri, Georges TOUCHARD, sont tués sur le coup.

25 janvier 1984 – Au cours d’un vol d’entraînement à la voltige en solo, le QM2 élève pilote Jean-Christophe GUICHON, aux commandes d’un Fouga Magister (n° 174) de l’école de pilotage de l’armée de l’Air à Cognac (GE 312), ne peut récupérer une vrille volontaire et s’écrase au sol sur le territoire de la commune de Chaix (Charente), au lieu-dit Le Petit Clérignac.

18 juin 1928 – Parti à la recherche des survivants de l’expédition polaire du dirigeable italien Italia, l’hydravion Latham 47 (le n° 02) a décollé de Tromsö en Norvège. A son bord, le Mt mécanicien pilote Gilbert, Georges, Paul BRAZY, le LV pilote Albert, Madeleine, Ludovic, Alphonse CAVELIER de CUVERVILLE, le CC pilote René, Cyprien GUILBAUD, chef de bord et le SM radio volant Emile VALETTE. De plus, l’hydravion emmène avec lui l’explorateur norvégien Roald AMUNDSEN et le LV pilote Leif DIETRICHSON, de la Marine norvégienne. Après quelques messages radio de routine, l’appareil ne donne plus de ses nouvelles. Les recherches entreprises quelques jours plus tard par le vapeur La Durance permettent de retrouver quelques débris entre l’île aux Ours et le Spitzberg. Les six hommes sont considérés comme disparus, présumés morts en mer.

21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes :

– 40 membres de l’équipage : Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT. 

– 10 passagers : le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON.

13 mars 1967 – Un P2V-7 Neptune (BuAer 147565) de la flottille 24F avait décollé de la BAN de Lann Bihoué pour une mission de nuit de soutien ASM. Un dernier contact radar et radio avec l’escorteur d’escadre Surcouf vers 21 h 45, le situe en mer d’Iroise, à 40 milles environ dans le 235° du phare d’Ar-Men (Finistère). L’appareil ne donne ensuite plus signe de vie. Les recherches intensives aériennes et maritimes menées les jours suivants permettent de retrouver un seul corps, celui de l’officier coordonnateur tactique. Les autres occupants de l’appareil sont portés disparus, présumés morts en mer. L’équipage était composé du PM électronicien de bord Léopold, Alfred CLAULIN, du PM mécanicien de bord François, Marie CONAN et Raymond, Léon, René COUTURIER, du SM2 mécanicien volant Louis, Yvon DELANNOY, du Mt électronicien de bord Bernard, François, Jean-Marie GUÉNÉGAN, de l’EV2 navigateur Jacques, Bruno, Yves GUILLEMETTE, du Mt électronicien de bord Joseph, Raymond, Alban HELLIOT, du LV de réserve navigateur Jean-François, Marie LUCAS, coordonnateur tactique, du Mt navigateur Michel, Jean MAURIN du Mt électronicien de bord Jean-Claude, Emile, Yves, Louis PLÉDEL, du Mt pilote Guy, Jean, Roger STIVALET, du LV pilote Thadée, Yves, Marie, François, Léopold TYL, commandant d’aéronef et du Mt électronicien de bord et Joseph, André, Jacques VANPEENE.

25 septembre 1963 – Au cours d’une séance d’ASSP sur la piste d’Hyères, un Aquilon 203 (n° 90) de la flottille 16.F se met en perte de vitesse à la suite d’un « wave off » non suivi de remise de gaz, il percute le sol et prend feu. Le pilote, le LV Pierre, Gabriel GUILLEMIN, est tué sur le coup.

21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes :

– 40 membres de l’équipage : Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT. 

– 10 passagers : le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON.

12 septembre 1919 – Au cours d’un vol d’entraînement, un hydravion Donnet-Denhaut 200ch (n° 1222 – H.12) du CAM de Toulon, disparaît dans le golfe de Giens (Var). Les recherches entreprises ne permettent pas de trouver d’indices. Les deux membres de l’équipage, le SM mécanicien observateur Emile, Alexandre GUILLEMOTO et le SM fusilier pilote Paul, Théophile, Jean PRIMA sont portés disparus, présumés morts en mer.

3 janvier 1923 – Le PM fusilier observateur Marie, Ange, François GUILLET est mortellement blessé dans le capotage à l’amerrissage d’un hydravion Georges Lévy 300ch (n° 156) du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël. L’autre occupant de l’appareil, le Mot1 mécanicien pilote Louis, André GUIBERT, grièvement blessé, est transporté à l’hôpital de Fréjus où il décède le lendemain.

5 février 1944 – A l’issue d’une séance d’entraînement au vol de nuit, une Short Sunderland III (s/n JM704 – B) de la flottille 7F est accidenté à l’amerrissage sur le plan d’eau de Dakar-Bel-Air. Quatre membres de l’équipage, le Mt radio volant François, Jean, Yves BODROS, le QM radio volant Joseph, Edmond DUTHY, le SM2 pilote Raymond, Henri, Marcel GUILLET et l’Asp de réserve observateur, Patrick, Charles O’SULLIVAN, périssent dans l’accident.

18 juin 1930 – Un Lioré et Olivier H193 de la Section de servitude d’Hyères, effectue un vol d’entraînement le long de la côte est de la Méditerranée. Sans s’en apercevoir, l’équipage dépasse la frontière et se trouve devant Vintimille (Italie) lorsqu’une panne de moteur le contraint à un amerrissage forcé. Mais celui-ci, fait vent arrière, se passe mal et l’appareil capote. Les deux occupants assis aux sièges avant, le SM radio, pilote René GUILLET et le SM radio volant Clément, Joseph, Alexandre POGAM, meurent noyés. Les deux autres membres de l’équipage sont recueillis par des pêcheurs.

20 mai 1931 – L’escadrille 7B1 du porte-avions Béarn a été débarquée de son bâtiment à Casablanca pour effectuer un vol autour du Maroc. Dans la région de Kasbah-Tadla, un de ses Levasseur PL 7 (7B1.14) se brise littéralement en vol, ne laissant aucune chance de survie à ses quatre occupants. L’équipage était composé du QM mitrailleur bombardier Arsène, Marie GUILLOU, du QM radio volant Louis, Charles JOLIDON, du QM mécanicien volant René, Marius, Auguste RADAL et du SM mécanicien pilote Jean, Yves, Marie RIOU.

16 février 1931 – Le QM arrimeur Jean-Louis GUILLOU affecté à l’escadrille CEPA du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, est grièvement blessé dans un accident d’aviation. Transporté à l’hôpital Sainte-Anne de Toulon (Var), il y meurt de ses blessures le 18.

26 avril 1944 – Quelques minutes après son décollage du plan d’eau de Dakar-Bel-Air, pour une mission de nuit d’escorte de convoi et alors qu’il vient de survoler l’île de Gorée, un Short Sunderland III (s/n DV985 – I) de la flottille 7FE, est victime d’une explosion interne et s’écrase en flamme. Le lendemain, seuls trois corps seront retrouvés parmi les débris flottants à la surface. L’équipage était composé de l’EV1 de réserve observateur George BONDON, chef de bord, l’EV1 de réserve Paul, Edouard, Etienne BOUVEYRON, observateur, le QM1 mécanicien volant Germain, René, Clément COSSET, le Mt mécanicien volant Théodore, Pierre, Armand GABOU, le SM2 pilote Gabriel, Bernard, Joseph, Léopold GIMAT, le QM2 radio volant René, Charles, Joseph GUILLOU, le QM mitrailleur bombardier Louis, Alexandre, Yves, Marie LE CORFEC, le SM mécanicien volant René, Marcel LE HENRY, le SM2 pilote Louis, Georges, Honoré LEROY, le Mot2 mitrailleur bombardier Roger, Sylvestre MARTIN, le Mt radio volant François, Marie OFFRET, le QM2 radio volant Gaston, Paul, Ernest PARA et le QM2 radio volant Maurice, Marcel RABIER.

4 décembre 1958 – Au cours d’un héliportage dans la forêt d’Ifrir, près de Tlemcen, un hélicoptère Sikorsky H-19D de la flottille 33.F (n° 55-1095 – 33.F-5), est pris dans une forte turbulence. Le chef cargo, l’OE2 mécanicien volant Auguste GUILLOUX, dont le harnais de sécurité n’était pas attaché, est déséquilibré et tombe par la porte ouverte, se tuant sur le coup à l’issue de sa chute.

20 décembre 1945 – Peu après son décollage de la BAN de Saint-Mandrier, un Dornier 24 de la flottille 9Ftr (n° 1 – 9F.1) qui se rendait à Arzew en Algérie, s’écrase à un kilomètre dans le 175° de la pointe de Saint-Elme dans la commune de la Seyne-sur-Mer. Des six membres de l’équipage, le LV pilote Hubert, Marie, Robert BENEYTON, chef de bord, le Mt mécanicien volant Jean-Louis CAMUS, le Mt pilote Pierre, Marie CAROFF, l’EV2 de réserve observateur René, Joseph, Mathurin GUINARD, le PM pilote Yves, Marie HAMON et le Mt radio volant Albert, Emile PORTRAT et des onze passagers, le PM Claude MERCEUR, les Mots François BOURGLAN, Jules CADICHON, Charles DARZENS, Louis DESNOYER, Pierre DUPUY, Louis LE DOZE, Joseph LE DOZE, Maurice PEROT, Maurice PIERRE, Pierre TEMOIN et Gérard TEXIER), cinq survivants sont vus agrippés à un réservoir d’essence mais quand les secours arrivent, un seul, le Mot François Bourglan, est retrouvé vivant. L’accident s’étant produit sans témoin et l’épave de l’appareil n’ayant pu être récupérée, ses raisons ne seront jamais connues.

28 mai 1952 – Le Mot2 Jacques, Noël, Charles GUY, élève pilote à la NAS de Corpus Christi, Texas, effectue aux commandes d’un TBM-3F Avenger (BuAer 53364), un exercice de tir à la roquette sur but marin. Après la sixième passe, l’appareil ne reprend pas d’altitude et, quelques secondes plus tard, entame un virage serré à gauche au cours duquel une aile touche la surface de l’eau. Déséquilibré, l’appareil s’écrase et coule par grands fonds, entraînant son pilote avec lui. L’accident a peut être été causé par l’explosion prématurée d’une roquette.

29 juin 1918 – Un hydravion FBA 150ch (n° 607) du PC du Cap Janet (Bouches-du-Rhône) s’abat en vrille à l’embouchure du vallon des Auffes. Ses deux occupants, le QM mécanicien pilote Marcel, Albert GUY et le SM timonier pilote Alphonse, François POULMARCH, sont tués sur le coup.

7 août 1917 – Au retour d’une mission de surveillance au large, un FBA 150ch (n° 390) du CAM de Salonique (Grèce), capote à l’amerrissage. Les deux hommes d’équipage, le SM mécanicien observateur Charles, Louis GUYARDEAU et le QM de manœuvre pilote Alexandre, Jean, Guillaume LE COZ, gravement blessés, sont transportés à l’hôpital militaire de Salonique où ils décèdent quelques heures plus tard.

3 décembre 1969 – Au cours d’une attaque simulée de la BAN de Nîmes-Garons, un Alizé (n° 38) de la flottille 6F perd brutalement de l’altitude et s’écrase au sol. Ses deux occupants, le PM électronicien de bord Daniel, Jean-Louis GUYAVARCH et le Mt pilote Joseph, Louis MAGURNO, sont tués sur le coup.

11 mars 1919 – En stage de réentraînement au CAM de Fréjus – Saint-Raphaël après son retour de captivité, le LV pilote Hubert, Anne, Marie, Arthur GUYOT d’ASNIÈRES de SALINS est mortellement blessé dans la chute en mer de son hydravion.

21 mars 1950 – Au cours d’un exercice de ralliement en vol de deux Seafire III de l’escadrille 54.S, l’appareil du chef de patrouille, l’OE2 pilote Fernand, Lucien GUYOT (s/n RX213 – 54.S-2), est percuté par celui piloté par l’EV1 André, Marie, Gabriel SAGON (s/n PX918 – 54.S-6). Les deux avions s’écrasent près d’Hyères, celui de l’EV Sagon au lieu-dit La Moutonne, celui de l’OE Guyot qui a tenté un atterrissage forcé, au quartier de la Gare. Les deux pilotes sont tués sur le coup.

7 avril 1927 – L’EV2 de réserve pilote Gilles, Jean, Marie GUYOT et le LV pilote Henri, Hyacinthe LE TEMPLIER, sont victimes d’un accident alors qu’ils effectuent un vol sur un Caudron 59 de l’école de pilotage de l’Aéronautique militaire d’Istres. L’EV2 Guyot est tué sur le coup alors que mais le LV Le Templier, grièvement blessé, est transporté à l’hôpital militaire de Marseille où il décède le lendemain.

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