8 octobre 1917 – Alors qu’il survole l’Aber Wrach (Finistère), un hydravion Donnet-Denhaut 150ch (n° 452) du CAM de Brest-Camaret est vu par des témoins se briser en l’air. La coque, privée d’ailes, s’abat dans un terrain marécageux près du bord de mer. Ses deux occupants, le SM mécanicien pilote Urbain, Louis, Martial BOUTIN et le Mot2 mécanicien, élève observateur Marcel, Louis DAFNIET, sont tués sur le coup.
4 mai 1954 – Pendant la campagne d’Indochine, un certain nombre d’équipages de l’Aéronautique navale ont été détachés dans des groupes de bombardement de l’armée de l’Air. Le SM1 mécanicien volant Marcel DAIGNÉ est ainsi affecté au GB I/19. Le 4 mai, le Douglas B-26 Invader (n° 44-34496 – 19.IH) en mission sur le camp retranché de Diên Biên Phu est atteint par la DCA ennemie et s’écrase au sol. Le SM Daigné ainsi que ses deux camarades de l’armée de l’Air, le Lt Labat et le Sgt Couturier, sont tués. D’autres sources indiquent que Daigné aurait pu sauter en parachute pour être ensuite mortellement blessé par l’éclatement d’un obus de mortier après avoir atterri.
11 octobre 1942 – Deux Martin 167-A3 de l’escadrille 1BR basée à Dakar-Ouakam effectuent une mission de reconnaissance sur le port de Freetown (Sierra Leone, alors colonie britannique). Interceptés par des chasseurs, les deux appareils ripostent mais une rafale touche le poste de tir supérieur du n° 227 (1BR.VII) et tue net le CF Henri, Laurent DAILLIÈRE, commandant l’Aéronautique navale en AOF, qui avait tenu à faire cette mission. Après être parvenu à se dégager de la chasse, l’appareil peut rejoindre Konakry en Guinée.
31 août 1967 – Parti de la base de la RAF de Kinloss en Ecosse, un Atlantic (n° 39) de la flottille 22F participait à un exercice en mer au large du Groenland. A la suite d’ennuis techniques, le chef de bord décide de regagner son terrain de départ. Gêné par la brume, il percute un sommet sur l’île du Prins Karl, dans l’archipel du Spitzberg (Norvège). Les débris de l’appareil sont retrouvés le 2 septembre par un hélicoptère soviétique et, parmi eux, les corps des onze membres de l’équipage qui était composé de l’OE2 navigateur aérien Maurice, Urbain CORDIER, coordonnateur tactique, du PM mécanicien volant André, Jean CROUX, du Mt navigateur aérien André DAMY, du Mt électronicien de bord Claude, Alain, Joseph GUICHARD, du PM pilote Jean, Pierre, Hughes, Edouard HAESSLEIN, du Mt navigateur aérien Albert, Henri LAPORTE, des Mt électroniciens de bord Jean-Paul LE VIAVANT et Jacques, Léon, François MORIN, de l’OE1 pilote Claude, Auguste RAGUIN, chef de bord, du Mt électronicien de bord François, Louis REUNGOAT et du SM mécanicien volant Michel, Valentin, Pierre, Marie STÉPHANO.
28 avril 1916 – Au cours d’un vol d’entraînement, un biplan Voisin de l’escadrille V96 de l’Aéronautique militaire s’abat au sol sur le territoire de la commune de Saint-Denis (Seine). Les deux membres de l’équipage, le Sgt pilote Edmond ROUME et le QM canonnier pointeur Jacques DANIEL, observateur, périssent dans l’accident.
17 mars 1976 – En mission Polmar dans le chenal du Four, après le naufrage de l’Olympic Bravery, un hélicoptère Sud Aviation 321G Super Frelon (n° 147) de la flottille 32F est victime d’un accident mécanique et s’abat en mer au large de Porspoder (Finistère). Les quatre membres de l’équipage, l’EV2 de réserve pilote Michel, Joseph, Pierre CAZABAN, commandant d’aéronef, le Mt mécanicien de bord Jean, Yvon, Eugène DANIEL, le LV pilote Pierre, Dominique SIRINELLI et le Mt électronicien de bord Denis, Roger, Simon VARIN périssent dans la chute de leur appareil. Seul le corps de l’EV Cazaban sera retrouvé.
30 août 1950 – Décollant d’Hyères pour un vol d’entraînement aux commandes d’un Seafire III de l’escadrille 54.S (s/n SP192 – 54.S-7), le SM1 Jean-Marie DANIEL est victime d’une panne de moteur. Après avoir heurté une haie d’arbres, l’appareil s’écrase sur la plage de l’Ayguade. Le pilote, très grièvement blessé, décède pendant son transfert à l’hôpital Sainte-Anne de Toulon.
13 décembre 1916 – Parti pour un vol entre Bizerte et Bône (Algérie), un Donnet-Denhaut 150ch (n° 61 – B.4) n’arrive pas à destination. Un observateur côtier signale avoir vu amerrir un hydravion au large du cap Rosa près de La Calle mais les recherches menées ne permettent pas de retrouver de traces de l’appareil ni de son équipage qui était composé du Mot mécanicien observateur Raoul, Denis DANIEL et du QM de manœuvre pilote Henri, Georges GILLE.
24 octobre 1963 – En tentant d’amerrir de nuit, par suite d’une panne de moteur, un TBM Avenger de l’escadrille 3.S (BuAer 69442 – 3S.10) basée à Cuers-Pierrefeu percute la mer à quelques dizaines de mètres du rivage, au lieu-dit Saint-Pierre-la-Mer, dans la commune de Fleury (Aude), Les quatre occupants, le SM2 pilote Joël, Henri, Louis DANTON, le Mt navigateur aérien Roger POTIER, le SM1 mécanicien de bord André, François, Marie TRUTIN et un passager, le Cne de l’armée de Terre Armand de LIVRET, sont tués dans la chute de leur appareil.
12 août 1953 – Après un décollage de nuit du porte-avions Arromanches au large du Lavandou (Var), l’EV1 pilote Henri, Raymond, François, Gérard DARCY, aux commandes d’un F6F-5 Hellcat de la flottille 11.F (BuAer 78857 – 11.F-7), s’abat en mer à 1,5 mille dans le 220° de Brégançon. Porté disparu dans un premier temps, son corps sera récupéré le 24 octobre suivant après le relevage de l’appareil.
16 mars 1970 – En circuit d’atterrissage à Landivisiau aux commandes d’un Etendard IVP (n° 104) de la flottille 16F, le LV Jacques, Gabriel, Raymond DARDOUILLET est victime d’une extinction du réacteur suivie d’un décrochage en virage serré. Son appareil s’écrase au lieu-dit Drévers, dans la commune de Saint-Servais (Finistère), le tuant sur le coup.
20 juillet 1945 – En phase finale de décollage du plan d’eau de la BAN de Dakar – Bel-Air, un Short Sunderland III de la flottille 7FE (s/n ML841 – M), rebondit plusieurs fois sur des lames avant de se briser en deux et de couler presque immédiatement. Il y a dix victimes parmi les occupants de l’appareil : les Mot2 EAR élèves observateurs, Henri, Camille BÉRAUD, Jean, Marie, Georges BONIS-CHARANCLE et Jacques, Alfred, Antoine BRUN, le SM2 radio volant Louis DARS, le Mt mitrailleur bombardier Raymond, Joseph, Marie HOUSSAY, le QM1 radio volant Joseph LE DEUN, l’EV1 de réserve observateur René, Michel, Jean LEMARCHAND, le Mot2 EAR élève observateur Jacques, Henri, Albert LICHTENBERGER, le Mot radio volant Alfred PONCET et le QM armurier d’aéronautique Louis, Gabriel ROBIN.
12 décembre 1950 – Au retour d’un vol d’entraînement, un AVRO Anson I de l’escadrille 56.S (s/n LT837 – 56.S-37) survole la ville d’Oran avant de regagner sa base de Lartigue. A la verticale du quartier du plateau Saint Michel, il est victime d’une rupture de la cellule et se désintègre littéralement en vol. Ce qui reste du fuselage s’écrase sur un garage heureusement inoccupé. Il n’y a aucun survivant parmi l’équipage qui était constitué des SM1 mécanicien volant Communardo, Gaston ACCILI, PM radio volant, instructeur Louis, Edouard DAUMONT, SM2 pilote Robert, Jean, Raoul DUVAL, Mot2 armurier d’aéronautique Lyonel, Lucien, Paul FRANÇOIS, QM1 élève radio volant Marcel, Jean, Yves FUSTEC, Mt élève radio volant Pierre, Gaston, Jean HAMELIN et SM2 élève radio volant Robert, François LE PORCHOU.
15 novembre 1972 – Au cours d’un vol d’entraînement de nuit à basse altitude, un Etendard IVM (n° 39) de la flottille 11F percute la mer à 4 milles au NW de Granville. Le corps de son pilote, le Mt Roland, Robert, Yves DAUNIC, sera rendu par la mer le 3 décembre sur la plage de Saint-Jean-le-Thomas (Manche).
17 avril 1980 – Au cours d’un vol de nuit à basse altitude, un GAMD Super-Etendard (n° 27) de la flottille 14F, percute le sol au lieu-dit Les Corbas, dans la commune de Chasnais (Vendée). Son pilote, le Mt Michel, Charles, Maurice DAUPHIN, est tué sur le coup.
1er et 2 décembre 1923 – Un Latham trimoteur (n° 4 – C.4) de l’escadrille H103 du CAM de Cherbourg et monté par un équipage de huit hommes est contraint, à la suite d’une panne d’un de ses moteurs, à amerrir en mer, à 15 miles au sud de la côte anglaise (50° 30’ N et 14° W). En voulant passer à l’arrière de la coque, le LV pilote Raymond, Edmond DAUVIN, est heurté par l’hélice du moteur central qui tournait encore et tué sur le coup. Ses camarades arriment son corps aux mats de la cabane pour éviter qu’il ne soit emporté par les vagues. L’hydravion en perdition est rejoint le 2, vers 1 h du matin, par l’aviso Ailette dépêché à sa recherche. Au cours de la manœuvre, l’appareil est heurté à plusieurs reprises par le bâtiment gêné par la grosse mer et chavire. Il coule rapidement, entraînant avec lui trois autres hommes, le Mt canonnier mitrailleur bombardier Théophile, François, Marie BANTAS, le PM mécanicien pilote Auguste, Léon DUNAUD et le LV pilote Louis, Marius RENAUD. Les quatre autres membres de l’équipage, le LV Protche, le PM Péladan, les SM Birhard et Nevé seront repêchés par l’Ailette.
18 juin 1940 – Un bimoteur Caudron Goéland (n° 209), évacué du cours de perfectionnement de Lanvéoc-Poulmic, s’apprête à atterrir sur l’aérodrome de Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne). Dans le dernier virage, l’appareil se met en perte de vitesse, effectue un tour de vrille et s’écrase au sol au lieu-dit La Grace. Ses trois occupants, le Mt pilote Pierre GÉRARD, le Mot2 mécanicien d’aéronautique René, Félix DAVAU et le QM radio volant Gaétan, Marie, Barbe MARIÉMA, périssent dans l’accident.
11 janvier 1926 – Aux commandes d’un Farman GL (n° 4 – G1) de la SE de Cherbourg, le LV Georges, Louis, Gabriel DAYGRAND, pilote et commandant de l’escadrille 1R1, s’apprête à amerrir en rade. Présenté trop bas, son appareil heurte la digue du Homet, capote et prend feu. Gravement brûlé, le LV Daygrand expire presque immédiatement.
29 juin 1954 – Un North American SNJ-4 (BuAer 51500 – WB-61) de la NAS Pensacola, Floride qui effectuait des exercices d’atterrissages forcés sur le terrain annexe de Whiting Field s’écrase au sol à la suite d’un décrochage à basse altitude en finale. Le moniteur américain, le Lt Jg James H. PRESSLEY est tué sur le coup. Son élève, le Mot2 Gabriel, Marie, Donnin, Léon DE MIJOLLA, relevé grièvement blessé est évacué vers l’hôpital de Pensacola où il décède quelques heures après son admission.
7 mai 1949 – L’OE1 pilote Raymond DE VISA, de l’escadrille 10.S de Fréjus – Saint-Raphaël, effectuait un stage de vol à voile sur le terrain d’Hourtin-Louley. A la suite de turbulences, son planeur Caudron C.800 (n° 185) perd de l’altitude rapidement et finit par percuter le sol à 45°. L’OE De Visa est tué sur le coup, son élève, blessé aux jambes, est évacué vers l’hôpital de Bordeaux.
23 septembre 1952 – Quelques instants après son décollage de la BAN de Tan Son Nhut, pour une mission de reconnaissance et de bombardement, le moteur extérieur droit d’un P4Y Privateer de la flottille 8.F (BuAer 59839 – 8.F-7) prend feu. Presque immédiatement, l’appareil devient incontrôlable et s’écrase au sol près de la bourgade de An Nhon Xa, dans la province de Gia Dinh. Dix membres de l’équipage, le CC pilote Paul, Marie, Alphonse, Augustin AUDIBERT, commandant la flottille, le SM1 mitrailleur bombardier René, Eugène, Joseph BLIN, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Jacques, André COCHE, le SM radio volant Robert DEBERGHES, le SM armurier volant Robert DÉPREUX, le Mt mécanicien volant André, Marie DUPONT, le SM2 radio volant Michel, Pierre FAGET l’EV1 de réserve pilote Pierre, Marie, Léopold LASSALLE, le Mt radio volant André, Paul ROUSSE et trois passagers qui avaient embarqués pour la mission, l’IMP volant François, Jean ENAULT, l’IM1 observateur Henri, Lucien, Marie SOURET de la BAN de Tan Son Nhut et le CC pilote Marc, Lucien, Camille VENOT, commandant le GAN Indochine, sont tués sur le coup. Le onzième membre de l’équipage, le SM pilote Daniel Thédenat, est retrouvé très gravement blessé dans les débris de l’appareil. Il survivra à ses blessures et continuera sa carrière dans l’Aéronautique navale.
4 février 1970 – Quelques minutes après son décollage de la BAN de Lann Bihoué pour participer à un exercice tactique avec l’escadre de l’Atlantique, un P2V-7 Neptune (BuAer 147571) de la flottille 25F se met en virage serré sur la gauche. Malgré semble-t-il, tous les efforts des pilotes pour le redresser, l’appareil s’écrase au sol dans la commune de Ploemeur, près du hameau de Kergantic (Morbihan). Ses douze membres d’équipage, le Mt électronicien de bord Jacques, Clément, Auguste BIGOT, le PM navigateur aérien Michel, René BIOUX, le LV pilote Henri, Robert, Charles DEBRAY, commandant d’aéronef, le PM électronicien de bord Gérard, Gaston, Jean, Marie DONAGHY, le Mt radio de bord Jean, Pierre FRANGE, le Mt mécanicien de bord Jean, Marie, Alain FRISON, le PM pilote Louis, Michel JACQUEMARD, le PM mécanicien de bord Pierre, Joseph, Marie LE GUERROUÉ, les PM électroniciens de bord Achille, François LE RIBLAIR et René, François MILEWSKI, le PM mécanicien de bord Roger PERUCCHIETTI et l’EV2 navigateur Yvon, Simon SIVY, sont tous tués sur le coup dans l’accident.
26 novembre 1948 – Un Wellington XIV de la flottille 2.F (s/n PF 996 – 2.F-1) participe à un exercice d’attaque de nuit d’un sous-marin au large du cap Falcon, près d’Oran. Pour probablement vouloir conserver son objectif dans le faisceau du projecteur ventral, le pilote effectue un virage à très basse altitude. Au cours de cette manœuvre l’aile touche l’eau et l’appareil, déséquilibré, s’écrase en me. Les recherches, immédiatement entreprises par le sous-marin, permettent de retrouver quatre corps seulement. L’équipage se composait des EV1 de réserve pilote Jean, Albert BOULICAUT, EV1 navigateur René, Charles BRESSON, SM2 mécanicien volant Charles DEBS, EV1 pilote François, Yves, Louis, René FAURE, chef de bord, Mt radariste volant Manuel, Jérôme FERRANDIS, SM radios volants André, Pierre, Marie LAURENT et Jean, Gabriel, Eugène LE MEUR et PM mitrailleur bombardier René, François POULIQUEN.
17 août 1918 – Au cours d’une ascension en mer, le QM timonier observateur de captif Albert, François, Cornil DECANTER du CBC de Cherbourg, tombe de sa nacelle et meurt presque immédiatement de ses blessures.
21 janvier 1982 – Un Douglas C-54 (n° 49 148) de l’escadrille 9S basée sur l’aérodrome de La Tontouta, en Nouvelle Calédonie, effectuait un vol d’entraînement aux décollages et atterrissages de nuit. Pour une raison indéterminée, il s’écrase sur les flancs du mont Kokoreta, au lieu-dit Bangou, dans la commune de Païta. Il n’y a aucun survivant parmi les sept occupants de l’appareil. L’équipage était composé du LV pilote Guy, Alain, Marie CELTON, commandant d’aéronef, du MP pilote Marcel, Daniel, François, Denis CRUSSON, du PM électronicien de bord Jean, Daniel DECOUDU, du Mt mécanicien volant Paul, Léon GAVARD-PIVET, du PM mécanicien de bord Bernard, Louis, Joseph, Marie LE FURAUT, du MP mécanicien volant Monroë, Jacques PODLESNIK et du PM navigateur Claude, François WULLAERT.
18 octobre 1922 – L’Asp de réserve Georges DEGHILAGE, élève pilote à l’école de pilotage du CAM de Berre, est mortellement blessé lorsque l’hydravion FBA 200ch (n° 1220) sur lequel il effectue un de ses premiers vols en solo, tombe en vrille dans l’étang.
5 avril 1917 – Partis du terrain de Saint-Pol-sur-Mer pour une mission de bombardement de nuit sur Ostende (Belgique), le Mot mécanicien observateur Emile, Charles DEHOUCK et le QM mécanicien pilote Ernest, Marcel VIENNE, de l’escadrille terrestre de bombardement du CAM Dunkerque, ne rentrent pas à leur base. Leur appareil, un Voisin LAP VIII (n° 1785 – SP.22 SP.21), s’est vraisemblablement perdu en mer. Les deux hommes sont portés disparus, présumés morts.
11 février 1941 – Au cours d’un exercice de vol en formation en section au large du cap Sicié, deux Latécoère 298 de l’escadrille 3T basée à Berre entrent en collision. Les trois occupants de l’appareil n° 71 (3T.9), le SM mécanicien volant Paul, Joseph, Marie DUCLOS, l’EV1 pilote Georges, Emile, René RAVEUX, chef de section et le QM radio volant André, Léon TARDIVAT, s’abattent en mer avec leur appareil et disparaissent avec lui. Dans l’appareil n° 77 (3T.4), le Mot2 radio volant Michel, Emile, Rémy DÉJARDIN et le SM pilote Jean, Roger, Georges ROUSSEAU, subissent le même sort que leurs camarades mais, le troisième homme d’équipage, le SM mécanicien volant Tanguy, parvient in extremis à sauter en parachute et est récupéré par une embarcation de pêcheurs.
16 mars 1916 – Au cours d’un vol d’entraînement sur l’aérodrome de Saint-Pol-sur-Mer, le QM timonier pilote Frédéric, Joseph DEJEAN, de l’escadrille de chasse terrestre du CAM de Dunkerque (Nord), est victime d’un accident. Relevé gravement blessé dans les débris de son Morane G (n° 497 – MS2), il est transporté à l’hôpital de Rosendaël où il décède le 18.
16 août 1932 – Un Farman 168 Goliath (n° 88 – 4FB.1) venait de décoller du lac de Bizerte pour un vol de nuit lorsqu’il est victime d’une baisse de puissance alors qu’il survole la terre. Contraint à un atterrissage de fortune, droit devant lui, sans que le pilote ne distingue le sol, l’appareil a la malchance de heurter de ses flotteurs une ligne électrique près d’El Azib. Déséquilibré, il bascule, touche le sol et prend feu. Ses quatre occupants, le SM radio volant Georges, Claude BERROCHE, le QM mécanicien volant Gabriel, Paul, Joseph DELAHAYE, le CC pilote Jean, Henri, Marie DESPORTES, commandant la 4ème Flottille de bombardement et le Mt mécanicien pilote Marcel, Julien, François PÉAN, périssent dans l’incendie.
22 mars 1939 – Au cours d’une séance de familiarisation aux décollages et amerrissages sur les nouveaux Latécoère 298, un appareil (n° 1) de l’escadrille T1 se met en perte de vitesse et, après deux tours de vrille, percute la mer en rade de Cherbourg et disparaît en entraînant avec lui ses trois membres d’équipage, le Mt pilote René, Georges, André DELAHAYE, le QM1 radio volant Emile, Louis, Marie LOTODÉ et le SM pilote André, Ambroise, Georges VERGÈS. Seul le corps du QM Lotodé sera retrouvé.
27 mai 1942 – En reprenant de l’altitude après un exercice de largage de torpille sur l’étang de Berre, un hydravion Latécoère 298 (n°40, codé 4T.6) de l’escadrille 4T, est victime d’une perte de vitesse et part en abattée sur une aile. La vrille qui s’ensuit ne peut pas être récupérée et l’appareil s’abîme dans l’eau. Ses trois hommes d’équipage, le SM mitrailleur bombardier Yves, Corentin, Marie BEAUGUION et le QM2 radio volant Elie, Pierre, Guillaume DELAIRE et l’EV1 de réserve pilote Jean, Camille, Marie DELERUE, sont tués sur le coup.
13 mars 1967 – Un P2V-7 Neptune (BuAer 147565) de la flottille 24F avait décollé de la BAN de Lann Bihoué pour une mission de nuit de soutien ASM. Un dernier contact radar et radio avec l’escorteur d’escadre Surcouf vers 21 h 45, le situe en mer d’Iroise, à 40 milles environ dans le 235° du phare d’Ar-Men (Finistère). L’appareil ne donne ensuite plus signe de vie. Les recherches intensives aériennes et maritimes menées les jours suivants permettent de retrouver un seul corps, celui de l’officier coordonnateur tactique. Les autres occupants de l’appareil sont portés disparus, présumés morts en mer. L’équipage était composé du PM électronicien de bord Léopold, Alfred CLAULIN, du PM mécanicien de bord François, Marie CONAN et Raymond, Léon, René COUTURIER, du SM2 mécanicien volant Louis, Yvon DELANNOY, du Mt électronicien de bord Bernard, François, Jean-Marie GUÉNÉGAN, de l’EV2 navigateur Jacques, Bruno, Yves GUILLEMETTE, du Mt électronicien de bord Joseph, Raymond, Alban HELLIOT, du LV de réserve navigateur Jean-François, Marie LUCAS, coordonnateur tactique, du Mt navigateur Michel, Jean MAURIN du Mt électronicien de bord Jean-Claude, Emile, Yves, Louis PLÉDEL, du Mt pilote Guy, Jean, Roger STIVALET, du LV pilote Thadée, Yves, Marie, François, Léopold TYL, commandant d’aéronef et du Mt électronicien de bord et Joseph, André, Jacques VANPEENE.
16 avril 1981 – Au cours d’un vol de navigation à basse altitude, un Alizé (n° 37) de la flottille 6F s’abat au lieu-dit Clavel, dans la commune de Castelnau-Montratier (Lot). Le PM navigateur Michel DÉLAS est tué sur le coup, le pilote, l’EV1 Rémy, Bernard BASSET, relevé très grièvement blessé, est évacué par hélicoptère vers l’hôpital militaire de Bordeaux où il décède le lendemain de son admission.
5 août 1916 – En mission de reconnaissance sur le port belge de Zeebrugge, un hydravion FBA 150ch (n° 306 – D.1), du CAM de Dunkerque, ne rentre pas à sa base, probablement abattu par des chasseurs ennemis. L’équipage, composé du QM mécanicien observateur Pierre AMOSSÉ et de l’EV1 pilote Jules, Aristide, Achille DELAUNAY, est porté disparu. Le corps du pilote sera retrouvé le 15 septembre au large de l’île néerlandaise de Texel. Celui de l’observateur ne sera pas retrouvé.
21 mai 1957 – En mission de reconnaissance armée à basse altitude dans la région de Batna (Algérie), le P4Y Privateer de la flottille 28.F (BuAer 59870 – 28.F-4) basée à Karouba, suit une vallée entre le djebel Hanar et le djebel El-Affrou. Des courants rabattants violents l’empêchent de prendre une altitude suffisante pour s’en dégager et il s’écrase en pleine zone rebelle. Six des douze membres de l’équipage, le SM1 mécanicien de bord Jean CARIOU, le Mot1 mécanicien d’aéronautique René, Valentin, Yves, Raymond DELÉPINE, le SM2 navigateur aérien François, Marie GOURMELON, le SM1 radio volant Jacques, Roger GRANET, le SM2 mécanicien volant Michel, Ghislain MATON et le SM2 radio volant Gérard, Raymond ROUX, sont tués sur le coup. L’EV2 de réserve navigateur Jacques, Charles, Henri KERVELLA, grièvement blessé, est achevé par des rebelles arrivés les premiers à l’épave. Deux survivants, l’EV1 pilote Claude, Alexis SURET, chef de bord et le SM2 radariste volant René, François, Marie JOSSE sont emmenés par les rebelles et probablement assassinés sommairement plus tard. Trois autres survivants, qui avaient pu se cacher dans une grotte proche des lieux de la chute de leur appareil, seront récupérés le lendemain par les troupes amies.
27 mai 1942 – En reprenant de l’altitude après un exercice de largage de torpille sur l’étang de Berre, un hydravion Latécoère 298 (n°40, codé 4T.6) de l’escadrille 4T, est victime d’une perte de vitesse et part en abattée sur une aile. La vrille qui s’ensuit ne peut pas être récupérée et l’appareil s’abîme dans l’eau. Ses trois hommes d’équipage, le SM mitrailleur bombardier Yves, Corentin, Marie BEAUGUION et le QM2 radio volant Elie, Pierre, Guillaume DELAIRE et l’EV1 de réserve pilote Jean, Camille, Marie DELERUE, sont tués sur le coup.
8 avril 1945 – Le PM Francis, Etienne DÉLERY, issu des FNFL, détaché au GC Ile de France, est blessé mortellement lorsque le Spitfire LF XVI (s/n TB359) qu’il pilote s’écrase à Baarn près d’Hilversum (Pays-Bas).
22 mai 1943 – Alors qu’il décolle de l’aérodrome de Dakar-Ouakam pour une mission de reconnaissance en mer, un Martin 167-A3 (n° 115 – 5BR.5) de l’escadrille 5BR est victime d’une panne de moteur et s’écrase en bout de piste. Le Mt pilote Raymond MIRANDA est tué sur le coup et le LV pilote Pierre, Roger DELMAS, commandant d’aéronef, gravement blessé, succombe après son transfert à l’hôpital de Dakar. Les deux autres membres de l’équipage sont blessés mais survivront.
28 mai 1919 – L’apprenti-marin Jean, Michel DELORAS, élève-pilote à l’école d’Istres, est victime d’un accident mortel au cours de l’un de ses premiers vols en solo.
12 septembre 1957 – Un SNCAN 1101 de l’escadrille 11.S (n° 38 – 11.S-24) décolle du terrain de Querqueville (Manche) à destination de la base des Mureaux. Immédiatement après le décollage, le moteur perd de la puissance et l’appareil s’abat dans la rade. Ses deux occupants sont tout d’abord portés disparus mais le corps du SM2 mécanicien volant André, Gabriel, René RADDE est retrouvé le 26 septembre et celui du CV Jacques, Henri, Louis DELORT est retrouvé le 5 octobre.
10 mars 1981 – Quelques instants après avoir décollé de l’aérodrome de Hahaya à Moroni dans l’archipel des Comores, un Atlantic n° (29) de la flottille 23F est victime d’un incendie de moteur. Hors de contrôle, il s’écrase près de la localité de M’Boudé, tuant ses dix-huit occupants. En plus de son équipage normal, l’appareil transportait une équipe technique d’entretien. L’équipage était composé du Mt électronicien de bord Patrick, Elie, Etienne BAUDOIN, de l’EV1 pilote Jean-Yves, Georges CISTAC, du PM électronicien de bord Alain, Henri, Jean-Baptiste DEMAISON, du Mt électronicien de bord Dominique, Jean, Etienne FAURE, du PM électronicien de bord Serge, Lucien LAPP, de l’EV1 navigateur aérien et coordonnateur tactique Olivier, Marie, Gérard, Henri de LASSUS SAINT-GENIÈS, du Mt électronicien de bord Dominique, Bernard, Marie MOISDON, du Mt navigateur Jean-Claude, Joseph MONTFORT, du LV pilote Philippe, René, Pierre MOUGENOT, commandant d’aéronef, du MP mécanicien de bord Eugène, Jean, Yves NORMANT, du Mt navigateur Eric, Claude, Daniel PÉRAUDEAU, du Mt mécanicien de bord Michel, Louis, Jacques RÉNIER, du SM2 électronicien de bord Patrick, Louis, Adrien, Henri ROUSSEAU et du SM2 radio de bord François-Xavier WINTERHALTER. L’équipe technique se composait du SM électromécanicien d’aéronautique Jean-Louis AUDREN, du PM mécanicien d’aéronautique Yves HENNEQUART, du QM1 électronicien d’aéronautique Bertrand, Pierre LION et du QM1 électronicien d’équipement Eric LOURENÇO.
15 novembre 1935 – Dans le cadre d’exercices interarmées, un Gourdou-Leseurre 812 avait été catapulté du croiseur Suffren pour éclairer sa marche. Au-dessus du golfe de Fos, l’hydravion est intercepté par des chasseurs Nieuport NiD 622 de l’armée de l’Air et l’un d’entre eux le heurte de plein fouet. Les deux appareils s’abattent en mer et les trois occupants du Gourdou, l’EV2 pilote Henry, Germain, Marie, Bernard DEMIMUID, le LV pilote François, Arthur, Théodore, Marie LAURENT, chef du service aviation du Suffren, et le QM radio volant Georges, Emile VIEL, disparaissent avec lui.
4 mars 1943 – Après avoir décollé de l’aérodrome de Port-Etienne (Mauritanie), un Martin 167-A3 (n° 215 – 5BR.3) de l’escadrille 5BR, est victime d’avaries sur un moteur qui contraignent le pilote à revenir se poser. Malheureusement, une roue heurte un talus et, déporté, l’appareil sort de la piste et vient heurter un bâtiment de la base. L’accident fait quatre victimes, le QM1 radio volant Maurice, Robert DEMOTIER, le QM mécanicien volant Joseph, René LE POLOZEC, l’OE2 mécanicien volant Yves, Vincent MAGUEUR et un passager, le général de brigade de l’armée de Terre TRISTANI.
11 juillet 1946 – Un Morane-Saulnier MS 502 (n° 250 – PA.1) de la BAN des Mureaux effectue un remorquage de planeur mais ce dernier ne parvient pas à décoller. Le pilote du Morane essaie de larguer le câble de remorquage mais le système ne fonctionne pas et, incapable de prendre de la vitesse, l’appareil s’écrase en bout de piste et s’embrase. Les deux occupants, l’OE2 pilote Lucien, Gabriel, Alain, Marie BÉCAM et le LV Jacques, Joseph DEPARIS, également pilote, périssent carbonisés. Le planeur, quant à lui, a pu se poser normalement.
25 août 1931 – Après son décollage, en virant trop serré pour prendre sa position dans un vol de groupe, l’EV1 pilote Pierre, Marcel DEPRAETER de l’escadrille 3C1, met son Nieuport NiD 62 (n° 306) en perte de vitesse. L’appareil effectue une violente abattée puis passe sur le dos et s’écrase au sol, tuant son pilote sur le coup.
23 septembre 1952 – Quelques instants après son décollage de la BAN de Tan Son Nhut, pour une mission de reconnaissance et de bombardement, le moteur extérieur droit d’un P4Y Privateer de la flottille 8.F (BuAer 59839 – 8.F-7) prend feu. Presque immédiatement, l’appareil devient incontrôlable et s’écrase au sol près de la bourgade de An Nhon Xa, dans la province de Gia Dinh. Dix membres de l’équipage, le CC pilote Paul, Marie, Alphonse, Augustin AUDIBERT, commandant la flottille, le SM1 mitrailleur bombardier René, Eugène, Joseph BLIN, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Jacques, André COCHE, le SM radio volant Robert DEBERGHES, le SM armurier volant Robert DÉPREUX, le Mt mécanicien volant André, Marie DUPONT, le SM2 radio volant Michel, Pierre FAGET l’EV1 de réserve pilote Pierre, Marie, Léopold LASSALLE, le Mt radio volant André, Paul ROUSSE et trois passagers qui avaient embarqués pour la mission, l’IMP volant François, Jean ENAULT, l’IM1 observateur Henri, Lucien, Marie SOURET de la BAN de Tan Son Nhut et le CC pilote Marc, Lucien, Camille VENOT, commandant le GAN Indochine, sont tués sur le coup. Le onzième membre de l’équipage, le SM pilote Daniel Thédenat, est retrouvé très gravement blessé dans les débris de l’appareil. Il survivra à ses blessures et continuera sa carrière dans l’Aéronautique navale.
27 janvier 1966 – Deux hélicoptères Bell 47G2 (n°159 et 167) de l’école de pilotage de l’ALAT de Dax effectuent des exercices de posers en campagne. Après un dernier exercice, ils reprennent l’air et volent vers Dax avec des trajectoires convergentes. Ne pouvant se voir mutuellement, ils entrent en collision et s’écrasent au sol sur le territoire de la commune de Saint-Martin-d’Arberoue (Pyrénées Atlantiques). Les quatre occupants sont tués sur le coup. Dans l’un des appareils se trouvaient l’EV1 Yves, Marie, René DERAIN, pilote stagiaire et le PM pilote Guy MARAVAL, moniteur, et dans l’autre l’Adjt Jean PERRAUDAT, moniteur et le MDL élève pilote Jean-Jacques RAOUL de l’ALAT.
21 novembre 1918 – Le QM mécanicien René, François, Georges DERAM, élève à l’école de pilotage du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, est mortellement blessé dans un accident d’hydravion.
24 janvier 1995 – Au moment d’atterrir après une liaison entre les BAN de Saint-Mandrier et Hyères, un hélicoptère SE 3130 Alouette II (n° 1113) de l’escadrille 23S est victime en vol d’une rupture de la tête du rotor principal. Hors de contrôle, l’appareil s’écrase au sol. Ses quatre occupants, le CC pilote Jean-Marc, François DERRIEN, commandant l’escadrille 23S, le CF pilote Romain LAUER, le CF (ENERA) Christian, Pierre MERMOZ et l’EV1 pilote Stephen, François, Henri TOUCHET, sont tués sur le coup.
12 octobre 1937 – Au cours d’une séance d’appontages sur le porte-avions Béarn, au large de Cherbourg, un Levasseur PL 7 (n° 16, codé 7B1.8) heurte l’îlot. Son pilote, le LV Guillaume, Marie, Augustin COLAS des FRANCS, commandant l’escadrille 7B1, est tué sur le coup.
6 février 1942. Au cours d’un exercice de lancement de torpille au large d’Arzew (Algérie), un Latécoère 298 (n° 85) de l’escadrille 2T touche l’eau d’une aile et, déséquilibré, s’abat en mer. Les trois membres de l’équipage parviennent à évacuer l’appareil qui sombre mais, quand les secours envoyés de la base arrivent, seul le SM radio volant Moal est encore vivant. Les deux autres, le SM1 mécanicien volant François, Joseph, Claudius DESAIRE et le LV pilote Pierre, Charles, Louis LEPELTIER, commandant l’escadrille, sont retrouvés noyés.
17 octobre 1947 – Après avoir décollé du terrain d’Inezgane, près d’Agadir, pour un exercice de tir de roquettes en mer, un Bloch 175T de la flottille 6.F (n° 28), est victime d’une panne du moteur gauche. L’appareil s’engage alors dans une vrille qui ne peut être récupérée et s’abat en mer, provoquant la mort de ses trois membres d’équipage, l’EV1 pilote Bernard, Camille, Georges, François DESAUBLIAUX, chef de bord, le SM1 mitrailleur bombardier Marcel, Maurice HUP et le Mt radio volant Jean, Nicolas WAECHTER. Les corps des trois hommes sont récupérés le 19 par un scaphandrier.
4 mai 1926 – L’EV1 pilote André, Julien, Victor, Louis DESHAYES, officier en second de l’escadrille 6C1, effectue une séance de voltige aux commandes du Dewoitine D1C1 (n° 45). Au cours d’une ressource, un peu brutale, une aile se replie et l’appareil s’écrase sur le terrain de Sidi Ahmed (Tunisie), tuant sur le coup son pilote.
21 mars 1940 – Un Latécoère 298 (n° 11 – T1.3) de l’escadrille T1 décolle du port de Boulogne-sur-Mer. Lourdement chargé, l’appareil ne parvient pas à déjauger et s’écrase sur la digue sud, provoquant l’explosion immédiate de son chargement de bombes. Les trois membres de l’équipage : le LV pilote Emile, Robert DESMONS, officier en second de l’escadrille T1, le QM radio volant Paul, Alphonse, Gabriel RENAUD et le SM mécanicien volant Charles, Joseph WERLÉ, disparaissent dans l’accident.
12 mai 1944 – Au cours d’un exercice de combat aérien, deux Douglas A-24 de l’école de chasse de l’armée de l’Air de Meknès entrent en collision. L’appareil n° 42-54206 s’écrase au sol tuant ses deux occupants, le SM1 pilote René, Pascal DESNUS, moniteur, et le SM pilote René, André, Pierre RONGIÈRE, élève. L’autre A-24, bien qu’endommagé, parvient à atterrir normalement.
21 décembre 1928 – Alors qu’il participait à un vol d’entraînement de nuit à bord de l’amphibie FBA 17HMT2 (n° 8) de la section d’entraînement de Karouba, le LV François, Marie, Etienne, Daniel DESORMEAUX, pilote de dirigeable, en poste à l’ÉM aéro de la IVème RM, est mortellement blessé dans l’accident de son appareil. Ce dernier a capoté à l’amerrissage sur le lac de Bizerte, à l’entrée de la baie Ponty.
16 août 1932 – Un Farman 168 Goliath (n° 88 – 4FB.1) venait de décoller du lac de Bizerte pour un vol de nuit lorsqu’il est victime d’une baisse de puissance alors qu’il survole la terre. Contraint à un atterrissage de fortune, droit devant lui, sans que le pilote ne distingue le sol, l’appareil a la malchance de heurter de ses flotteurs une ligne électrique près d’El Azib. Déséquilibré, il bascule, touche le sol et prend feu. Ses quatre occupants, le SM radio volant Georges, Claude BERROCHE, le QM mécanicien volant Gabriel, Paul, Joseph DELAHAYE, le CC pilote Jean, Henri, Marie DESPORTES, commandant la 4ème Flottille de bombardement et le Mt mécanicien pilote Marcel, Julien, François PÉAN, périssent dans l’incendie.
22 avril 1942 – Au cours d’un vol de convoyage entre Damas, Syrie et Beyrouth, Liban, un Potez 63.II (n° 649) appartenant aux FAFL, s’écrase près de la localité de Masnah, à 40 km au SES de Beyrouth. Ses trois occupants, le Lt pilote Jacques de CHABRILLAN, le Mt mécanicien d’aéronautique Pierre DESSA et le Sgt pilote Jean-Marie NEVRAUMONT, sont tués sur le coup.
31 octobre 1923 – Le CC pilote Antoine, Valentin, Marcel DESTREM, détaché au sous-secrétariat d’État à l’aéronautique et aux transports aériens, n’en continue pas moins de voler régulièrement. Il est passager d’un Farman 50 qui, par temps de brume, est accidenté au lieu-dit Villaroy, près du terrain de Guyancourt (Seine et Oise). L’appareil se met en pylône et le CC Destrem, qui occupait le poste du mitrailleur avant, est tué sur le coup.
Le 23 juin 1944 – Au cours d’un vol d’entraînement à basse altitude au large d’Agadir, un Convair PBY-5 Catalina (BuAer 48357 – F-34) de la flottille 6FE heurte la surface de l’eau. Le choc provoque la rupture du fuselage en deux parties qui s’enflamment avant de couler rapidement. Deux des occupants, qui ont été projetés à la mer, sont recueillis par un chalutier espagnol arrivé sur les lieux. Quatre autres membres de l’équipage, le SM2 radio volant Robert, Jacques, Albert DESVERNINE, le SM2 pilote Jean, Pierre HUBIN, le QM1 mécanicien volant Roger, Mathurin MADEC, le SM pilote Louis, François, Marie RUBAUD, disparaissent avec l’appareil. Le corps d’un cinquième, celui du QM1 mécanicien volant Jean-Louis, Tanguy, Marie NÉZOU, est retrouvé le lendemain.
22 novembre 1943 – Au cours d’une séance de voltige sur un Morane-Saulnier MS 230 de l’école de pilotage d’Igoudar, le Mt pilote Marcel, Arthur DÉTIENNE s’engage dans une vrille qu’il ne peut pas récupérer. Son appareil s’écrase au sol à Aïn Melloul, près d’Inezgane, le terrain d’Agadir, le tuant sur le coup.
22 août 1934 – Au cours d’un simulacre de combat tournoyant, le QM arrimeur pilote Henri, Roger DEVAIRE de l’escadrille 3C1, s’engage dans une vrille qu’il ne peut pas arrêter. Son Morane Saulnier 225 (n° 58) s’abat dans la commune de Carqueiranne (Var). Grièvement blessé, le pilote est transporté à l’hôpital Sainte Anne de Toulon où il décède peu de temps après son arrivée.
16 février 1979 – En mission d’entraînement de transport de charges sous élingue, un hélicoptère Sud Aviation 321G Super Frelon (n° 149) de la flottille 32F basée à Lanvéoc, est victime d’une rupture d’une fusée de pale du rotor principal et s’abîme en mer à quelques dizaines de mètres du cap de la Chèvre, dans la presqu’île de Crozon. Les six membres de l’équipage, le PM pilote Yves, André, Célestin BOUCOIRAN, commandant d’aéronef, le SM2 électronicien de bord Louis, François CERMAN, le PM mécanicien de bord Guy, Germain CRASSIN, le Mt pilote Philippe, Marcel DÉVOILLE, le MP électronicien de bord Xavier, Pierre LANGUILLE, le Mt mécanicien d’aéronautique Gildas, Jean, Yves TASSEL, périssent dans l’accident.
10 mars 1945 – Un Supermarine Walrus I (s/n Z1815 – G.7) de l’escadrille 4S s’écrase au hameau de Cavalligna, dans la commune de Santa-Maria-di-Lota (Corse). L’accident fait quatre victimes, l’équipage, composé du Mt pilote Adrien, Noël DEVOIR et du Mot mitrailleur bombardier Jacques PUCHU et deux passagers, le SM mécanicien François, Claude RUBINI et le QM2 canonnier Louis, Antoine LÉONARDI de l’Unité Marine d’Ajaccio.
3 juin 1941 – Un Bristol Blenheim IV (s/n T1998) du GRB 1 des FAFL s’écrase à Dirrah, près d’El Facher (Soudan), au cours d’un vol de convoyage vers Khartoum. Les quatre membres de l’équipage, le S/C radio volant André, Emile, Arthur DEVOS, le Cne Louis FLURY-HERARD, le Sgt mécanicien volant René HUGON et le Lt Claude de La ROCHE SOUVESTRE, et périssent dans l’accident. Devos et Hugon avaient servi dans l’Aéronautique navale avant de s’engager dans les FAFL.
24 juillet 1968 – Au cours d’un exercice d’interception, un LTV F8E (FN) Crusader (n° 21) de la flottille 12F percute le sol au lieu-dit Le Bois de Trémelin, dans la commune d’Iffendic (Ille-et-Vilaine). Son pilote, le MP Roger, Valentin DHAM, est tué sur le coup.
11 novembre 1964 – A l’issue d’un vol d’entraînement à la navigation à longue distance, un Lockheed P2V-6 Neptune (BuAer 134663) de la flottille 21F, provenant de Bou-Sfer (Algérie) se pose de nuit sur l’aérodrome de Néa Alicarnasso, dans l’île d’Héraklion en Grèce. Après avoir plusieurs fois rebondi au toucher des roues, le pilote remet les gaz pour refaire un tour de piste mais un incendie se déclare alors au moteur gauche. Ne pouvant pas reprendre de l’altitude, l’appareil touche le sol de l’aile gauche qui est arrachée, puis se disloque et prend feu. Neuf des treize membres de l’équipage, le PM électronicien de bord Lucien, Georges BROCARD, le Mt mécanicien de bord Daniel, Emile, Marcel DIDIER, l’EV2 de réserve, navigateur et coordonnateur tactique Régis, Charles, Henri FOILLARD, le SM1 mécanicien de bord Claude, Lucien FRANÇOIS, le Mt mécanicien de bord Hervé HENRY, le SM2 radio volant Joseph JÉGOU, le Mt pilote Jean, Lucien, Corentin, Gabriel LE BRIS, l’OE3 pilote Henri, Gustave, Georges SCHIMPF commandant d’aéronef et le Mt radio de bord Denis, Jean, Marie UGUEN, périssent dans l’accident. Les quatre autres, bien que gravement atteints, survivront à leurs blessures.
13 octobre 1943 – Au cours d’un vol d’entraînement sur le terrain de Rayack (Liban), un Martin 167-A3 du GB Bretagne s’écrase au sol tuant ses cinq membres d’équipage. Parmi eux, le Sgt radio volant Edouard, Jean, François DION, , ancien QM1 radio volant de l’Aéronautique navale qui avait rejoint les FAFL en 1943.
12 novembre 1934 – Pour une raison indéterminée par l’enquête, un CAMS 55 (n° 15), codé 1E1.6, de l’escadrille 1E1 basée à Cherbourg-Chantereyne, se brise en vol et s’écrase dans la commune de Cosqueville-Vrasville (Manche). Quatre de ses cinq occupants, le QM radio volant André, Dieudonné, Aimé DOLHANT, le SM arrimeur pilote Liévin, Emile DUMONT, le SM mécanicien d’aéronautique André, Charles, Gaston HUET, et le Med2 Henri, Marie RAMPONT, passager, sont tués dans la chute de leur appareil. L’EV2 de réserve pilote Jean-Paul COLAS, chef de bord, retrouvé grièvement blessé dans les débris, est évacué vers l’hôpital maritime de Cherbourg où il décède peu de temps après son admission.
18 novembre 1932 – Au cours d’un entraînement au lancer de torpille pour un pilote nouvellement affecté, un Levasseur PL 14 (n° 8) de l’escadrille 7B2 percute la surface de la mer en baie de Saint-Mandrier. Les flotteurs arrachés, l’appareil passe sur le dos et coule presque immédiatement, ne laissant aucune chance de survie aux trois hommes qui composaient l’équipage, le QM arrimeur pilote Yves, Marie DOLOU, le QM mitrailleur bombardier François, Laurent RUNAVOT et le SM mécanicien pilote Eugène, Emile TINGAUD.
18 mai 1940 – En mer du Nord devant Nieuport (Belgique), une patrouille simple de deux Potez 631 de l’escadrille AC2 basée sur le terrain de Calais-Marck livre combat à une formation de chasseurs bimoteurs. Après quelques minutes d’une lutte inégale les deux appareils s’abattent en mer. Dans l’un des appareils se trouvaient le SM2 pilote Roger, Claudius, Eugène DOMAS et le SM1 mécanicien volant Henri, Marie LE THOMAS, qui disparaissent avec leur appareil. Dans le second Potez, le Mt pilote Jean, Charles DUPONT semble avoir été tué en vol par les tirs des assaillant, son équipier, le QM Le Bot, bien que blessé, parvient à sauter en parachute. On a cru pendant longtemps que les deux chasseurs français avaient été abattus par des appareils allemands. Or, à partir de divers recoupements, il apparaît maintenant que, victimes d’une méprise comme il y en a toujours dans les conflits, ils sont en fait tombés sous les coups de bimoteurs Blenheim de la RAF.
25 janvier 1957 – Au moment d’atterrir pour une évacuation sanitaire dans la région de Khenchela, un Vertol H-21 de la flottille 31.F (n° FR.17 – 31.F-5) est atteint par des tirs rebelles ; les deux pilotes sont touchés et, hors de contrôle, l’hélicoptère s’abat au sol. Témoins de la scène, des légionnaires se précipitent et dégagent de l’épave les corps du SM2 mécanicien volant Jacques, Alexis CRÉ, du LV de réserve pilote Bruno, Louis DOMERGUE, commandant d’aéronef et du Mt pilote Louis, Henri LAY, tués sur le coup. Le quatrième membre de l’équipage, qui a été éjecté à l’impact, est retrouvé vivant mais blessé.
4 février 1970 – Quelques minutes après son décollage de la BAN de Lann Bihoué pour participer à un exercice tactique avec l’escadre de l’Atlantique, un P2V-7 Neptune (BuAer 147571) de la flottille 25F se met en virage serré sur la gauche. Malgré semble-t-il, tous les efforts des pilotes pour le redresser, l’appareil s’écrase au sol dans la commune de Ploemeur, près du hameau de Kergantic (Morbihan). Ses douze membres d’équipage, le Mt électronicien de bord Jacques, Clément, Auguste BIGOT, le PM navigateur aérien Michel, René BIOUX, le LV pilote Henri, Robert, Charles DEBRAY, commandant d’aéronef, le PM électronicien de bord Gérard, Gaston, Jean, Marie DONAGHY, le Mt radio de bord Jean, Pierre FRANGE, le Mt mécanicien de bord Jean, Marie, Alain FRISON, le PM pilote Louis, Michel JACQUEMARD, le PM mécanicien de bord Pierre, Joseph, Marie LE GUERROUÉ, les PM électroniciens de bord Achille, François LE RIBLAIR et René, François MILEWSKI, le PM mécanicien de bord Roger PERUCCHIETTI et l’EV2 navigateur Yvon, Simon SIVY, sont tous tués sur le coup dans l’accident.
2 novembre 1954 – Amerrissant sur le lac de Bizerte à l’issue d’un vol d’entraînement, un SNCAN 1402 Noroît de l’escadrille 53.S (n° 8 – 53.S-4) est victime d’un phénomène vibratoire entraînant la perte ou le blocage d’un aileron. Malgré les efforts des pilotes, l’appareil s’incline à gauche, touche l’eau de l’aile et percute la surface du lac. Sept des huit occupants trouvent la mort dans cet accident. L’équipage était composé de l’OE3 pilote Bernard, Fernand, Arthur, Auguste DORION, du SM2 radio volant Emile L’AOT, du PM mécanicien volant Joseph, Albert LE BERRE, du SM2 mécanicien volant Pierre, Charles, Auguste LEBARBENCHON, du Mt radio volant Henri, Raymond, Pol MÉNAGER, du SM2 pilote Robert, Florentin, Louis MIGNOT et de l’EV1 pilote Guy, François, Léon SAUVAGE, commandant d’aéronef, tous tués et du Mt pilote Chosserie qui a survécu par miracle. A la suite de cet accident, l’EMGM prend la décision de retirer le Noroît du service.
18 mars 1925 – Un hydravion Georges Lévy 300ch de l’escadrille 6R1 s’abat dans le lac de Bizerte devant la bourgade d’El Azib (Tunisie). Ses deux occupants, le QM canonnier pilote André, François, Henri, Paul DORP et le Mot radio volant Joseph, Raoul, Marie KERESPER, sont tués sur le coup.
18 octobre 1915 – Un Voisin LAS III (n° 801 – VM.23) de l’escadrille de bombardement terrestre du CAM de Dunkerque, est victime d’une panne de moteur au décollage et s’écrase sur le terrain de Saint-Pol-sur-Mer (Nord). Les deux membres de l’équipage, le Mot2 mécanicien observateur Maurice, Ferdinand, Edouard DOUALLE et le QM de manœuvre pilote Louis, Marie KERGOSIEN sont tués sur le coup.
26 septembre 1939 – Se rendant de Fréjus – Saint-Raphaël à Aspretto, un Lioré et Olivier H257bis (n° 01 – SR.23), victime d’ennuis mécaniques, tente d’amerrir dans le golfe de Girolata, près de Porto (Corse). Probablement rendu incontrôlable, l’appareil percute la surface de l’eau, provoquant l’explosion de son chargement de bombes. Les quatre hommes qui composaient son équipage : le LV pilote Jean, Marie, Joseph, Paul BAUDOUIN, chef de bord, le Mt pilote Jean, Albert, Jules DOUCET, le QM mécanicien volant Joseph, Jean-Baptiste DUBOIS et le Mt radio volant Auguste EYERMANN et de même que trois passagers, l’IMC2 volant Jean, Charles CASTILLON, le Lt/Col de l’Armée de l’air Georges, Emile OPPERMANN et le LV Marcel, Maurice, Edouard RICHARD, sont tués sur le coup.
11 janvier 1933 – A la fin d’un vol d’exercice, un CAMS 55 de l’escadrille 4E1 (n° 13 – 4 E1.5) s’apprête à amerrir sur le lac de Bizerte lorsqu’il est pris par dans un grain violent. Déséquilibré par une forte rafale, il échappe au contrôle de son pilote et heurte d’une aile une falaise de la baie des Carrières et s’abat au sol. Quatre des occupants trouvent la mort dans cet accident : le SM radio volant Jean, Lucien AUFFRAY, le QM mécanicien volant Jean, Yvon, Marie DOUÉRIN, le LV pilote Georges, Marie, Charles DUPUY, commandant en second de l’escadrille et de l’EV1 de réserve pilote Gilbert, Pierre, Henri, François PICHERY, chef de bord.
4 août 1943 – Décollant du terrain de Dakar-Ouakam pour une mission de protection de convoi, un Lockheed Hudson IIIA (s/n FH336 – 1BR.III) de l’escadrille 1BR est victime d’une perte de puissance des moteurs, s’écrase et prend feu. Ses cinq hommes d’équipage, l’EV1pilote Marcel, Pierre, Henri DOUXAMI, chef de bord, l’EV1 de réserve observateur François GUICHARD, le SM1 mécanicien volant Yves, Jean NÉDELEC, le QM2 mitrailleur bombardier Jean, Joseph, Marie RIO et le SM2 radio volant Henri, Georges TOUCHARD, sont tués sur le coup.
21 février 1944 – Un amphibie Supermarine Walrus I (s/n HD870 – 4S.35) de l’escadrille 4S, chargé de la protection d’un convoi transitant de nuit entre la Corse et la Sardaigne, disparaît en mer au cours de sa mission. Son équipage était composé de l’Asp de réserve observateur Jean, Alfred, Jacques DREYFUS, du SM pilote Alexis FOURN et du SM radio volant Robert, Ludovic, Samuel LEGÉ. Les corps de l’Asp Dreyfus et du SM Fourn seront retrouvés sur la côte sarde et inhumés dans le cimetière militaire britannique de Cagliari. L’Asp Dreyfus servait sous le nom de guerre de Bernard.
7 octobre 1916 – Le SM de manœuvre pilote Edouard DRILLET et le QM mécanicien observateur Casimir, Eloi, Fernand LEFRANC, à bord d’un hydravion Donnet-Denhaut 150ch (n° 67 – codé 2), du CAM de Corfou (Grèce), repèrent un sous-marin allemand (U-35) en surface et décident de l’attaquer. Au cours de l’approche, leur appareil est touché par les tirs d’armes automatiques mises en batterie par l’équipage du submersible et s’abat en mer. Les deux hommes parviennent à se dégager de l’épave et sont vus par un autre appareil, accrochés à l’empennage qui dépasse encore de l’eau. Mais, lorsque les secours dépêchés de Corfou arrivent sur place, ils ne retrouvent aucune trace de l’hydravion ni de son équipage.
7 janvier 1949 – Par très mauvais temps et un moteur en panne, l’hydravion quadrimoteur Breguet 730 Véga de l’escadrille 33.S de Saint-Mandrier est contraint à un amerrissage forcé au large d’Arzew (Algérie). La plupart des membres de l’équipage et des passagers peuvent évacuer l’appareil fortement endommagé avant qu’il ne s’échoue et coule mais l’EV1 de réserve navigateur François, Marie, René DRIOUT, gravement blessé, resté bloqué dans la coque, meurt noyé. Un passager, le Mot électricien André, Marie, Jules, Cyprien BEDATON, du porte-avions Dixmude, grièvement blessé, est évacué vers l’hôpital d’Oran où il décède peu après son arrivée.
11 juin 1917 – Un FBA 150ch (codé CH.4) du CAM de Cherbourg et accidenté à l’amerrissage au retour d’une patrouille en mer. Ses deux occupants sont recueillis blessés puis transportés à l’hôpital maritime où l’un d’eux, le SM mécanicien pilote Marcel, Louis DROUET, décède quelques heures plus tard.
11 mars 1943 – Participant à un exercice avec des troupes au sol à Biougra, près d’Agadir, un Dewoitine 520 (n° 565 – 2AC.1) piloté par le LV Jacques, Honoré, Marie du MERLE, commandant l’escadrille AC2, heurte un cheval du bout de l’aile au cours d’une passe à très basse altitude. Déséquilibré, l’appareil s’écrase quelques centaines de mètres plus loin, tuant sur le coup son pilote.
21 décembre 1923. C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques milles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes :
– 40 membres de l’équipage : Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT.
– 10 passagers : le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON, adjoint au Chef du Service central de l’Aéronautique.
24 août 1917 – En tentant d’atterrir sur le terrain des Baraques dans la commune de Sangatte (Pas-de-Calais) à la suite d’ennuis de moteur, un Voisin LBP VIII (n° 2217) s’écrase et tue ses deux occupants, le Mot1 mécanicien observateur Georges, Henri DUBOIS et le SM canonnier pilote Ernest, Emile, Alexandre MACOUIN. Les deux hommes, qui appartenaient au CAM de Dunkerque, convoyaient un appareil neuf de Villacoublay à Saint-Pol-sur-Mer.
26 septembre 1939 – Se rendant de Fréjus – Saint-Raphaël à Aspretto, un Lioré et Olivier H257bis (n° 01 – SR.23), victime d’ennuis mécaniques, tente d’amerrir dans le golfe de Girolata, près de Porto (Corse). Probablement rendu incontrôlable, l’appareil percute la surface de l’eau, provoquant l’explosion de son chargement de bombes. Les quatre hommes qui composaient son équipage : le LV pilote Jean, Marie, Joseph, Paul BAUDOUIN, chef de bord, le Mt pilote Jean, Albert, Jules DOUCET, le QM mécanicien volant Joseph, Jean-Baptiste DUBOIS et le Mt radio volant Auguste EYERMANN et de même que deux passagers, l’IMC2 volant Jean, Charles CASTILLON et le LV Marcel, Maurice, Edouard RICHARD, sont tués sur le coup.
21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes :
– 40 membres de l’équipage : Les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Pierre, Casimir, Baptiste ALBAGNAC et Georges, Louis BAILLOUX, le SM mécanicien d’aéronautique Ange, Jean, Louis BOULLEAU, les Mot2 mécaniciens d’aéronautique Roger, Marius BOYER et Victorin, Louis BRUNIAS, le Mot arrimeur Maurice, Jules, Baptiste, Pierre CHARPENTIER, le SM mécanicien d’aéronautique Georges, Victor, Auguste CLAVEL, le QM arrimeur volant André CLOSVIROLA, le SM2 pilote de direction Joseph, Louis, Marie COLLET, le SM mécanicien volant Noël, Marie COROUGE, le QM mécanicien volant Marcel, Alexandre COUVÉ, le LV pilote de dirigeable Jean, Joseph, Anne, Marie, Julien du PLESSIS de GRENÉDAN, commandant, le Mot mécanicien d’aéronautique Raymond, Louis DUBOIS, les QM mécaniciens volants Jean, Constant FELON, Charles, Georges FOUCHET et Louis GALLET, le Mt mécanicien volant Charles, Jean GASPAILLARD, le QM radio volant Marie, Antoine, Emile GUILLAUME, le SM arrimeur Joseph GUILLEMOT, le Mt de manœuvre pilote de direction René, Félix, Marie HAMON, le Mot2 mécanicien d’aéronautique Louis, Jean IMBERT, le QM radio volant Pierre, Jean-Marie JAFFREZIC, le SM mécanicien volant François, Clément JAN, les QM arrimeurs Charles, Marcel KUBLER et Saint-Amand, Charles, Adolphe La FORGE, le SM mécanicien volant Jean, François, Aimé, Eugène LIZÉE, le QM mécanicien volant François, Auguste, Joseph, Mathurin MAINGUY, le LV pilote de dirigeable Sylvestre, Antoine MARCAGGI, le PM mécanicien volant René, Henri MOMBERT, le QM mécanicien volant Kléber, Eugène, Marie, Albert NAL, le SM radio volant Adrien, Jean-Baptiste PAUC, le QM mécanicien volant Charles, Joseph, René, Louis QUÉMERAIS, les QM arrimeurs volants Jean RICHARD et Géraud, François, Marie ROCHER, le Mot mécanicien volant Jean, Eugène, Edouard ROUDEN, le LV pilote de dirigeable Adrien, Aimé, Victor ROUSTAN, commandant en second, le Mot arrimeur Charles, Paul SÉDILLOT, le SM arrimeur volant Louis, Marie TARTIVEL et le QM mécanicien volant Jean, Léopold VINCENOT.
– 10 passagers : le CC Victor, Louis BERRETTA, les LV pilotes de dirigeable Pierre BOURDIER et Maurice, Gabriel CONVENTS, le CF pilote de dirigeable Georges, Léon, François, Jules HENNIQUE, commandant le CAM de Cuers-Pierrefeu, le LV pilote de dirigeable Serge, François, Roger GOISLARD de La DROITIÈRE, le CC pilote Henri, Jules LEFRANC, le LV observateur Georges, Etienne LEVESQUE, le Med1 Léopold, Henri PÉLISSIER, le CC pilote de dirigeable Georges, Paul RENON, le LV pilote de dirigeable Henri, Marcel, Aurélien ROUSTAN et, enfin, le CV Pierre, Edouard, Marie YVON.
7 février 1918 – Le QM électricien René DUBOURG, élève à l’école de pilotage du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël, est tué sur le coup dans la chute en mer de son hydravion FBA 150ch (n° 532).
Le 17 juillet 1943 – Au cours d’un vol d’entraînement à la navigation à partir de la base de Pensacola en Floride, un Convair PBY-5 Catalina (BuAer 2972) de l’US Navy disparaît corps et bien dans le golfe du Mexique. Parmi les huit occupants de l’appareil se trouvaient les EV1 de réserve élèves pilotes, Bertrand, Marie, Joseph, Benoît DUBREUIL et Jean-Pierre, André GRAILLE du groupe aéronaval d’instruction des FNFL aux Etats-Unis.
14 avril 1954 – En décollant en section du terrain de Karouba/Sidi Ahmed (Tunisie), un F4U-7 Corsair de la flottille 15.F (BuAer 133705 – 15.F-7) est victime d’une sortie de piste et capote. Son pilote, le Mt René, Charles, Jean DUBREZ est tué sur le coup par l’écrasement de la verrière.
29 juin 1918 – Le QM timonier Jean DUCAMIN et le QM électricien Ambroise, Georges LALANNE, élèves pilotes à l’école de pilotage du CAM d’Hourtin, sont mortellement blessés dans la chute dans l’étang de leur hydravion FBA 150ch.
21 octobre 1918 – Le dirigeable AT 8, basé au CAM de Sidi Ahmed (Tunisie) est en mission de surveillance ASM au large de Bizerte lorsque de fortes rafales de vent l’obligent à un amerrissage forcé. A l’impact, la nacelle se brise précipitant les cinq membres de l’équipage à la mer. Trois d’entre eux, le Sgt mécanicien de dirigeable Paul, Hyacinthe BASSEVILLE, le Cne d’infanterie pilote de dirigeable Marcel, Charles, Fernand DUCASSE et l’EV1 pilote de dirigeable Georges, Pierre, Paul MARRE, périssent noyés.
10 mai 1935 – Alors qu’il s’apprête à amerrir en rade de Cherbourg, un Latécoère 290 (n° 12 – 1T1.3) de l’escadrille 1T1, victime d’une perte de vitesse, s’abat sur un quai de l’arsenal. Trois des quatre membres de l’équipage, les QM2 arrimeurs pilotes Raymond, Georges DUCHESNE et Armand, Rémy LEROY, et l’EV1 pilote Charles, Marie, Louis, Eugène SALET, chef de bord, sont tués sur le coup. Un quatrième est sérieusement blessé.
19 décembre 1943 – Un Vickers Wellington XIII (s/n HZ710 – 1B.14) de l’escadrille 1B de la 2ème flottille de bombardement avait décollé du terrain de Dakar-Oukam pour un mission de protection de convoi. Les conditions météorologiques sont très mauvaises et, incapable d’assurer correctement sa mission, le chef de bord annonce par radio qu’il l’interrompt et rentre à sa base. Un autre message signale que les grenades ASM ont été larguées. Vers 14 heures, le Wellington est à la verticale de Ouakam et entame un long virage pour se présenter dans l’axe de la piste. Des témoins s’aperçoivent alors qu’un des moteurs émet une fumée noire. A 14 h 24, l’avion percute la mer et explose à deux milles de la côte. Des embarcations de pêcheurs puis des vedettes de la Royal Navy se portent immédiatement sur les lieux de l’accident mais ne trouvent aucun survivant. L’équipage était composé des QM1 radio volant Auguste, Joseph AQUADRO, EV1 pilote Victor, Louis, Henri CERINI, chef de bord, SM2 pilote Alexandre, Eugène, Célestin CRESTEL, QM2 radio volant Gaétan, Jean, Joseph DUCLOS, PM pilote Henri, Denis MICHEL, QM mécanicien volant Raymond PATUREAU et Asp de réserve Henri, Antoine PUCHOL, observateur. Les corps de Cerini, Michel et Patureau ne seront pas retrouvés.
11 février 1941 – Au cours d’un exercice de vol en formation en section au large du cap Sicié, deux Latécoère 298 de l’escadrille 3T basée à Berre entrent en collision. Les trois occupants de l’appareil n° 71 (3T.9), le SM mécanicien volant Paul, Joseph, Marie DUCLOS, l’EV1 pilote Georges, Emile, René RAVEUX, chef de section et le QM radio volant André, Léon TARDIVAT, s’abattent en mer avec leur appareil et disparaissent avec lui. Dans l’appareil n° 77 (3T.4), le Mot2 radio volant Michel, Emile, Rémy DÉJARDIN et le SM pilote Jean, Roger, Georges ROUSSEAU, subissent le même sort que leurs camarades mais, le troisième homme d’équipage, le SM mécanicien volant Tanguy, parvient in extremis à sauter en parachute et est récupéré par une embarcation de pêcheurs.
12 juillet 1944 – Au retour d’une mission de surveillance en mer, dans l’impossibilité à cause du brouillard régnant sur la région d’Agadir et à court de carburant, un Convair PBY-5 Catalina (BuAer 48361 – F-35) de la flottille 6FE est contraint d’amerrir au large de Safi (Maroc). La mer est grosse et l’appareil se brise en deux parties au contact de l’eau. La partie avant flotte encore mais la cabine de pilotage est déjà sous la surface, ne laissant aucune chance de survie à ses trois occupants, l’Asp de réserve observateur Yvon, Pierre, René DUCREST, le LV pilote Roger, Louis JACQUEMIN, chef de bord et le Mt pilote Emile, Edmond POPLIMONT et. Les six autres membres de l’équipage se retrouvent à l’eau mais, lorsque deux heures plus tard des embarcations de pêcheurs arrivent sur les lieux de l’accident, ils ne sont plus que quatre, le Mt radio volant Camille, René, Léon YBERT et le QM mécanicien volant Fernand, Joseph, Ferdinand LECORDIER ont coulés à pic.
12 octobre 1931 – Une section de trois Levasseur PL 101 de l’escadrille 7S1 du porte-avions Béarn, évolue au-dessus de Pierrefeu (Var). A la suite d’une fausse manœuvre, les deux avions sectionnaires entrent en collision et, enchevêtrés, s’écrasent dans un champ de vigne. Quatre des six membres d’équipage, le QM mécanicien volant Yves, François, Marie BOURIGAN, le Mt arrimeur pilote Lucien, Maurice DUCREUX le QM radio volant Pierre FAYET et le Mt arrimeur pilote Charles, Eugène VAUTRIN, sont tués dans la chute des appareils. Le QM Pierre Viaud est retrouvé blessé, mais vivant, dans les débris de son appareil. Quant au QM Charles Saliou, il a eu le temps de sauter en parachute.
14 janvier 1946 – Au cours d’un vol d’entraînement au PSV, un Vickers Wellington X de l’escadrille 51.S de Khouribga (s/n NC566 – 52S.52-V) s’écrase dans la forêt de Mamora, à 8 kilomètres au SE de Port-Lyautey. Trois membres de l’équipage, le CC pilote Georges, Michel, Joseph BARON, et commandant de l’escadrille, le SM2 mécanicien volant Marcel, Ernest, Pierre COUSTIC et SM2 pilote André LAVAUD, sont tués sur le coup. Retrouvé vivant dans l’épave, le QM2 radio volant Georges, Léon, Aimé DUFOUR est transporté à l’hôpital de Port-Lyautey où il décède le 16. L’accident a vraisemblablement été dû à une erreur dans la sélection des réservoirs d’essence.
26 avril 1968 – Le LV Georges, Louis, Charles DUFRÊNE, aux commandes d’un Etendard IVP (n° 112) de l’escadrille 59S, participait à un exercice d’attaque au sol à basse altitude. Sa trajectoire l’amène à entrer dans les nuages et, pour une raison indéterminée, son appareil percute le sol près du hameau de Milin dans la commune de Chabons (Isère), le tuant sur le coup.
9 mars 1953 – Un SB2C Helldiver de l’escadrille 54.S (BuAer 83581 – 54.S-14) effectuait des exercices de percées sous la direction d’un autre appareil piloté par un moniteur. En prenant de l’altitude pour un second essai, le pilote annonce par radio qu’il a des ennuis avec sa capote de VSV. Une fumée blanche, puis noire, et enfin des flammes apparaissent dans le sillage. L’appareil perd alors de l’altitude et finit par percuter des arbres et se disloquer au lieu-dit Les Borrels, dans la commune d’Hyères. Ses deux occupants, l’IM3 de réserve Claude, René, André DUJARDIN et le LV de réserve pilote Jean, Georges MILHÉ, sont tués sur le coup.
3 juillet 1942 – Un Latécoère 298 (n° 43 – 4T.2) de l’escadrille 4T basée à Berre, victime d’une panne de moteur, est contraint à un amerrissage forcé devant Marseille. La mer est forte et l’hydravion, endommagé, coule rapidement forçant l’équipage à se mettre à l’eau. Mais lorsque les hommes sont recueillis par le chalutier Constant, il est trop tard pour le Mt pilote Henri DULUC qui ne peut être ranimé.
29 mai 1945 – En formation de pilote à l’EFTS Nr 6 d’Oxford (Royaume-Uni), le SM fourrier Albert, Franck, François DUMONT est victime d’un accident mortel à bord d’un De Havilland Tiger Moth I (s/n N6805).
12 novembre 1934 – Pour une raison indéterminée par l’enquête, un CAMS 55 (n° 15), codé 1E1.6, de l’escadrille 1E1 basée à Cherbourg-Chantereyne, se brise en vol et s’écrase dans la commune de Cosqueville-Vrasville (Manche). Quatre de ses cinq occupants, le QM radio volant André, Dieudonné, Aimé DOLHANT, le SM arrimeur pilote Liévin, Emile DUMONT, le SM mécanicien d’aéronautique André, Charles, Gaston HUET, et le Med2 Henri, Marie RAMPONT, passager, sont tués dans la chute de leur appareil. L’EV2 de réserve pilote Jean-Paul COLAS, chef de bord, retrouvé grièvement blessé dans les débris, est évacué vers l’hôpital maritime de Cherbourg où il décède peu de temps après son admission.
8 août 1969 – En formation de pilote au GE 315 de l’armée de l’Air de Cognac, le Mot2 Jean-François DUMONTET est victime d’un accident mortel lorsque le Fouga Magister (n° 214 – QH) qu’il pilote s’abat au lieu-dit Le Taillis, dans la commune d’Usson-du-Poitou (Vienne).
1er et 2 décembre 1923 – Un Latham trimoteur (n° 4 – C.4) de l’escadrille H103 du CAM de Cherbourg et monté par un équipage de huit hommes est contraint, à la suite d’une panne d’un de ses moteurs, à amerrir en mer, à 15 miles au sud de la côte anglaise (50° 30’ N et 14° W). En voulant passer à l’arrière de la coque, le LV pilote Raymond, Edmond DAUVIN, est heurté par l’hélice du moteur central qui tournait encore et tué sur le coup. Ses camarades arriment son corps aux mats de la cabane pour éviter qu’il ne soit emporté par les vagues. L’hydravion en perdition est rejoint le 2, vers 1 h du matin, par l’aviso Ailette dépêché à sa recherche. Au cours de la manœuvre, l’appareil est heurté à plusieurs reprises par le bâtiment gêné par la grosse mer et chavire. Il coule rapidement, entraînant avec lui trois autres hommes, le Mt canonnier mitrailleur bombardier Théophile, François, Marie BANTAS, le PM mécanicien pilote Auguste, Léon DUNAUD et le LV pilote Louis, Marius RENAUD. Les quatre autres membres de l’équipage, le LV Protche, le PM Péladan, les SM Birhard et Nevé seront repêchés par l’Ailette.
16 septembre 1949 – Un hydravion Sunderland III de la flottille 7.F (s/n ML851 – 7.F-1) a décollé du plan d’eau de la BAN de Dakar-Bel-Air pour un exercice de grenadage réel. Quelques instants plus tard, une explosion sourde est signalée à environ 17 milles dans le 273° du feu des Almadies et, au même instant, l’appareil cesse ses émissions radios. Les secours dépêchés immédiatement découvrent des débris épars au milieu desquels flottent des corps. Il n’y a bien entendu aucun survivant. L’hypothèse la plus vraisemblable est que l’une des grenades a explosé prématurément au contact avec l’eau alors que l’appareil volait à basse altitude. L’équipage était composé de dix hommes, le SM2 radio volant Marc, Alexandre AUBERT, le SM2 mitrailleur bombardier Jean, Auguste, Pierre BUSSIÈRES, le SM2 mécanicien volant Robert CORVAISIER, l’EV1 de réserve pilote Jean DUPIN, l’IM2 volant Jean GUÉNÉGUÈS, Mt pilote Léon, Marie HAMON, l’EV1 de réserve pilote Louis, Romain MARMONIER, commandant d’aéronef, le QM2 électricien d’aéronautique François, Jean MÉVEL, le QM2 mécanicien volant Raymond, Lucien, Joseph MOUGIN et le QM2 armurier d’aéronautique Lucien, André PIERRE.
23 septembre 1952 – Quelques instants après son décollage de la BAN de Tan Son Nhut, pour une mission de reconnaissance et de bombardement, le moteur extérieur droit d’un P4Y Privateer de la flottille 8.F (BuAer 59839 – 8.F-7) prend feu. Presque immédiatement, l’appareil devient incontrôlable et s’écrase au sol près de la bourgade de An Nhon Xa, dans la province de Gia Dinh. Dix membres de l’équipage, le CC pilote Paul, Marie, Alphonse, Augustin AUDIBERT, commandant la flottille, le SM1 mitrailleur bombardier René, Eugène, Joseph BLIN, le SM2 mécanicien de bord Pierre, Jacques, André COCHE, le SM radio volant Robert DEBERGHES, le SM armurier volant Robert DÉPREUX, le Mt mécanicien volant André, Marie DUPONT, le SM2 radio volant Michel, Pierre FAGET l’EV1 de réserve pilote Pierre, Marie, Léopold LASSALLE, le Mt radio volant André, Paul ROUSSE et trois passagers qui avaient embarqués pour la mission, l’IMP volant François, Jean ENAULT, l’IM1 observateur Henri, Lucien, Marie SOURET de la BAN de Tan Son Nhut et le CC pilote Marc, Lucien, Camille VENOT, commandant le GAN Indochine, sont tués sur le coup. Le onzième membre de l’équipage, le SM pilote Daniel Thédenat, est retrouvé très gravement blessé dans les débris de l’appareil. Il survivra à ses blessures et continuera sa carrière dans l’Aéronautique navale.
18 mai 1940 – En mer du Nord devant Nieuport (Belgique), une patrouille simple de deux Potez 631 de l’escadrille AC2 basée sur le terrain de Calais-Marck livre combat à une formation de chasseurs bimoteurs. Après quelques minutes d’une lutte inégale les deux appareils s’abattent en mer. Dans l’un des appareils se trouvaient le SM2 pilote Roger, Claudius, Eugène DOMAS et le SM1 mécanicien volant Henri, Marie LE THOMAS, qui disparaissent avec leur appareil. Dans le second Potez, le Mt pilote Jean, Charles DUPONT semble avoir été tué en vol par les tirs des assaillant, son équipier, le QM radio volant Jean Bot, bien que blessé, parvient à sauter en parachute. On a cru pendant longtemps que les deux chasseurs français avaient été abattus par des appareils allemands. Or, à partir de divers recoupements, il apparaît maintenant que, victimes d’une méprise comme il y en a toujours dans les conflits, ils sont en fait tombés sous les coups de bimoteurs Blenheim de la RAF.
19 septembre 1943 – Après des semaines d’intense entraînement sur Short Sunderland en Grande Bretagne, les équipages devant constituer la 1ère flottille d’exploration (future 7F), commencent à rejoindre individuellement Dakar-Belair, qui sera leur base opérationnelle. Au large de Port-Etienne (Mauritanie), un Sunderland III (s/n DV986 – 3E.5) signale par radio qu’il a des difficultés pouvant nécessiter un amerrissage d’urgence. Une explosion est ensuite entendue par les bâtiments d’un convoi proche. En dépit des recherches menées par ces navires, rien ne sera retrouvé de l’appareil, ni de son équipage. Les onze hommes disparus étaient le QM1 radio volant Jean, Gaston BLESTEL, le SM mitrailleur bombardier André, Georges, Jean, René BONNET, le Mt pilote Jean, Dominique, Pierre BOUSQUET, le SM1 mécanicien volant Alain, Marie CAROFF, l’EV1 pilote Marcel, Eugène DUPRESSY, chef de bord, le QM mécanicien volant Yves LE COZIC, l’EV1 Jean-Jacques MARTIN, observateur, le QM1 radio volant Jean-Baptiste, René MONS, le Mt pilote Octave, Jean SELOIVE, le Mt mécanicien volant Georges, Maurice STUDER et le QM mitrailleur bombardier Bernard, Ferdinand TAILLANDIER.
11 janvier 1933 – A la fin d’un vol d’exercice, un CAMS 55 de l’escadrille 4E1 (n° 13 – 4 E1.5) s’apprête à amerrir sur le lac de Bizerte lorsqu’il est pris par dans un grain violent. Déséquilibré par une forte rafale, il échappe au contrôle de son pilote et heurte d’une aile une falaise de la baie des Carrières et s’abat au sol. Quatre des occupants trouvent la mort dans cet accident : le SM radio volant Jean, Lucien AUFFRAY, le QM mécanicien volant Jean, Yvon, Marie DOUÉRIN, le LV pilote Georges, Marie, Charles DUPUY, commandant en second de l’escadrille et de l’EV1 de réserve pilote Gilbert, Pierre, Henri, François PICHERY, chef de bord.
20 septembre 1968 – Pendant le salon de l’aéronautique de Farnborough, en Angleterre, un Atlantic (n° 43) est présenté en vol. Au cours d’un passage à basse altitude, turbine gauche stoppée, hélice en drapeau, l’appareil s’engage dans un virage à gauche, décroche et s’écrase sur un bâtiment. Les cinq membres de l’équipage, le Mt électronicien de bord Raoul, Joseph, Louis BÉQUIER, l’OE1 pilote Gilles, Marcel, Dosité DURAND, le SM1 mécanicien de bord André, Charles GOASGUEN, l’EV2 navigateur Christian, Paul, Charles LEMAIRE et le CC pilote Jean-Yves, Pierre, Marie SAINT M’LEUX du SC Aéro, et commandant d’aéronef, sont tués sur le coup. Tous, à par le commandant d’aéronef, appartenaient à la flottille 22F.
17 août 1960. Un AVRO Lancaster de l’escadrille 55.S (n° WU 26 – 55.S-4) revenait de métropole vers Agadir, transportant douze passagers en plus de son équipage habituel. Alors que l’appareil se trouve 25 kilomètres au sud de Had Ouled Frej, un message est reçu par le contrôle de Camp Cazès, signalant un incendie au moteur n° 3 et annonçant une tentative d’atterrissage forcé. Mais il est trop tard, rongé par le feu, le longeron principal de la voilure cède et l’aile droite se replie. Désemparé, le Lancaster s’écrase au sol près du douar de Khemis M’Touch, dans la région de Sidi Bennour, à une centaine de kilomètres environ dans le SSO de Casablanca. Tous les occupants sont tués sur le coup. L’équipage était composé du MP mécanicien de bord Bernard BRÉLIVET, du SM2 radio volant Jacques, Pierre DURAND, de l’EV2 de réserve pilote Jean-Claude JÉGOU, des OE3 pilotes Henri, Francis JOURDAN et Joseph, Jean, Marie LE HIRESS, chef de bord, du Mt mécanicien volant Edmond, Jean, Marie MARTIN et du PM radio volant Jean, Emile, Auguste MOUSSET. Les passagers étaient le QM2 armurier d’aéronautique Claude, Paul BARBÉ, le PM pilote Maurice, Dominique, Pierre CANTAT, les SM2 mécaniciens d’aéronautique Jacques, Roland, Marcel HERBETTE, Gilbert, Louis, Marie LE ROUZIC et Jean, Louis MARC, l’agent de la poste aux Armées Armand, Marius PÉZÉ, le QM1 électricien Christian, Charles PHIPPS, le SM2 mécanicien d’aéronautique Joseph PROVOST, le PM mécanicien d’aéronautique Lucien, Jean, Louis ROMANI, l’IM1 volant Jacques, Jean, Victor ROULS, le Sgt/Maj Louis, Victor PRINCE-SOULIER de l’armée de Terre et le Mot2 maître d’hôtel Pierre VICARIOT.
11 août 1919 – Le QM mécanicien pilote Raymond, François DURAND du CAM de Fréjus – Saint-Raphaël est mortellement blessé dans la chute en mer de son hydravion. Son observateur, blessé, est recueilli par des pêcheurs proches du lieu de l’accident.
2 février 1944 – Ayant décollé de Dakar-Ouakam en fin d’après-midi pour une mission d’escorte de convoi, le Vickers Wellington XI (s/n HZ539 – T) de l’escadrille 5B, l’une des deux composantes de la 2ème flottille de bombardement, émet à 20 h 48 un message annonçant son retour du fait de difficultés de moteur. Sa position est alors de 16° 55’ N et 17° 35’ W. Ce sera son dernier contact et l’appareil ne donnera plus aucune nouvelle. Les recherches lancées le lendemain ne donnent aucun résultat. Aucune épave, si petite soit-elle, n’est aperçue et l’espoir de retrouver des survivants disparaît. L’équipage était composé du QM radio volant Roger, Jean, Raoul ARROUÈS, de l’EV1 de réserve observateur Edouard, Marie, Claude CARTIER-BRESSON, du LV pilote Victor, Jean, Baptiste, Antoine DURANDO, chef de bord, et du QM1 mitrailleur bombardier François, Jules, Désiré, Alfred LEPOITTEVIN, du PM pilote Max, Gustave NIEL, du Mt pilote René, Julien ROY et du SM radio volant Georges VARY.
22 août 1966 – Un Sud Aviation 321G Super Frelon (n° 103) effectuait un vol de convoyage de Marignane à Fréjus – Saint-Raphaël avec un équipage mixte de l’escadrille 20S et de l’ERC. A la hauteur de la commune de Pourrières (Var), il est victime de la rupture d’un manchon d’une pale du rotor principal et, incontrôlable, il s’écrase au lieu-dit La Neuve. Les huit occupants de l’appareil périssent dans l’accident. L’équipage se composait du LV pilote Georges, Marcel, Marie BLONDEAU, du PM mécanicien de bord Paul, Marcel BROUDIN, de l’OPE mécanicien volant Aimé, René DUROUGE, du Mt électronicien de bord André, Auguste, Marie GUAQUÈRE, du PM mécanicien de bord Yves, Louis LE SERREC, du MP mécanicien de bord Maurice, Gérard LUBAIN, du CC pilote Bernard, Edmond NIOGRET, détaché du SC. Aéro, commandant d’aéronef et du PM électronicien de bord Michel, Jacques RAULT.
23 septembre 1925 – Au cours d’une mission de bombardement de la ville de Chefchaoued, dans le massif du Rif (Maroc), un Farman 60 Goliath (n° 133 – 5B2.5), de l’escadrille 5B2, est porté disparu. Son équipage était composé des : QM arrimeur pilote Maurice, Eugène, Charles, Théodore DUSSOLON, QM radio volant François, Jean-Louis GOARNIGOU, SM pilote Etienne, François, Henri MARCHAU, SM mitrailleur bombardier Clet, Marie RIOU, et Mot mécanicien d’aéronautique Jean-Louis SÉGALEN. Certains corps ne seront retrouvés qu’en 1929.
2 mars 1950 – Alors qu’aux commandes d’un Seafire III de la flottille 1.F (s/n SP167, codé1.F-6), il participe à un exercice d’interception, le SM2 pilote Jean-Pierre, Robert DUTEIL disparaît en mer au large d’Hyères. Malgré les recherches, aucun indice ne sera retrouvé.
5 février 1944 – A l’issue d’une séance d’entraînement au vol de nuit, une Short Sunderland III (s/n JM704 – B) de la flottille 7F est accidenté à l’amerrissage sur le plan d’eau de Dakar-Bel-Air. Quatre membres de l’équipage, le Mt radio volant François, Jean, Yves BODROS, le QM radio volant Joseph, Edmond DUTHY, le SM2 pilote Raymond, Henri, Marcel GUILLET et l’Asp de réserve observateur, Patrick, Charles O’SULLIVAN, périssent dans l’accident.
17 avril 1939 – L’escadrille T1 venait de recevoir ses premiers Latécoère 298. Au cours d’un vol d’entraînement au bombardement en semi-piqué sur l’étang de Berre, l’un des appareils (n° 18 – T1.8), est victime, à la ressource, d’un décrochage à haute vitesse et percute la surface de l’eau. Les trois hommes composant l’équipage, l’EV1 pilote Jacques, Gilbert, Edouard DUTILLEUL, le SM radio volant Joseph, René, Hermann ROHRBACH, et l’Asp de réserve observateur Marcel, Albert, Eugène VERGRIETE, périssent dans l’accident.
26 avril 1921 – Pendant un vol d’entraînement, le LV Albert, Louis, Emmanuel DUVAL, élève pilote à l’école de pilotage du CAM de Berre, est victime d’un accident mortel lorsque le FBA 200ch (n° 1197 – 31) qu’il pilotait se met en perte de vitesse à 200 mètres d’altitude et s’abat dans l’étang.
27 juillet 1944 – Quelques semaines avant de rentrer au Maroc, un Convair PBY-5 Catalina (BuAer 46561 – 8F.2) de la flottille 8FE décolle de la base de Norfolk (Virginie) aux Etats-Unis pour un vol d’entraînement au large. Plus rien n’est ensuite connu de l’appareil ni de ses occupants. Les recherches lancées à l’aide d’avions, hydravions et dirigeables, ne donnent aucun résultat et tout espoir de retrouver des survivants est abandonné. L’équipage était constitué du SM2 pilote Louis, Maxime, Mario CHAUVET (qui servait sous le nom de guerre de Robert, Claude LOUP), du Mt radio volant Paul, Joseph, Armand FIÉ, du QM radio volant Paul DUVAL, de l’OE2 pilote Robert, Kléber GALIÈGUE, chef de bord, de l’Asp de réserve observateur Isadel GELLER, du Mt mécanicien volant Louis, Désiré LEFÈVRE, du QM1 mitrailleur bombardier Adrien, Marie LE GONNIDEC, du Mt mitrailleur bombardier Auguste, Désiré LEMEUR et du QM2 mécanicien volant Pierre, Paul SARRAMIAC.
12 décembre 1950 – Au retour d’un vol d’entraînement, un AVRO Anson I de l’escadrille 56.S (s/n LT837 – 56.S-37) survole la ville d’Oran avant de regagner sa base de Lartigue. A la verticale du quartier du plateau Saint Michel, il est victime d’une rupture de la cellule et se désintègre littéralement en vol. Ce qui reste du fuselage s’écrase sur un garage heureusement inoccupé. Il n’y a aucun survivant parmi l’équipage qui était constitué des SM1 mécanicien volant Communardo, Gaston ACCILI, PM radio volant, instructeur Louis, Edouard DAUMONT, SM2 pilote Robert, Jean, Raoul DUVAL, Mot2 armurier d’aéronautique Lyonel, Lucien, Paul FRANÇOIS, QM1 élève radio volant Marcel, Jean, Yves FUSTEC, Mt élève radio volant Pierre, Gaston, Jean HAMELIN et SM2 élève radio volant Robert, François LE PORCHOU.
10 janvier 1941 – Le PM pilote René, Georges, Antoine DUVAUCHELLE et le SM radio volant Jacques, René, François MÉHOUAS s’étaient évadé de Karouba vers Malte le 4 juillet 1940 à bord d’un hydravion Latécoère 298 de l’escadrille HB2. A Malte, les deux hommes s’engagent dans la RAF où il reçoivent respectivement les grades de Flight Sergeant et Sergeant. Au cours d’une mission de reconnaissance sur Catane (Sicile), leur appareil, un Martin Maryland I (s/n AR707) du Squadron 69, est abattu par la DCA ennemie. Les deux hommes, de même que le « sergeant » mitrailleur de la RAF G. TAYLOR qui les accompagnait, sont tués dans la chute en mer de leur avion.
28 novembre 1957 – Au retour d’un entraînement dans la région d’Hyères, un SNCASE Aquilon 203 de la flottille 16.F (n° 75 – 16.F.19) s’abat en mer dans le circuit d’atterrissage. Son pilote, le LV Edouard, Alexandre, Emile DUVILLIER, probablement trompé par la mauvaise visibilité à basse altitude, est tué sur le coup.