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L 15 – Pilote d’hydravion… malgré tout (1929-1946)

Le prix initial était : 19 €.Le prix actuel est : 10 €.

  • Format : 15,5 x 24 cm
  • Couverture : cartonnée
  • Livre relié
  • Nombre de pages : 240
  • Nombre de photos : 140
  • Langue : Français

Autobiographie

Né en 1910, Henri Gueydon de Dives, étudiant à Bordeaux, rêve d’entrer à l’Ecole Navale mais est débouté par trois fois en 1927, 1928 et 1929 pour raison médicale. Il s’oriente alors vers la marine marchande, suit les cours de l’école d’hydrographie de Bordeaux, embarque ensuite comme pilotin sur le Cap Saint Jacques. Il sert sous contrat jusqu’en 1934, embarquant sur plusieurs types de bâtiments, y compris le porte-avions Béarn, ce qui lui donne un avant goût de l’Aviation maritime. Activé après une campagne d’instruction sur la Jeanne d’Arc en 1934-1935, il part en campagne sur l’aviso colonial D’Entrecasteaux, puis devient observateur d’aéronautique à Hourtin en 1938. Affecté au service “aviation” du croiseur Foch, il goûte aux joies du catapultage sur Gourdou 813 puis sur Loire 130. Selon un cursus classique, il suit le cours de pilotage à Versailles en 1939-1940, bousculé en mai 1940 par l’offensive allemande.
Sa première affectation de pilote est à l’escadrille 4.E à Dakar, où il est second du Laté 302 Mouneyrès. puis de l’Antarès. Rentré en France en octobre 1942, il s’apprête à rallier sa nouvelle escadrille à Lartigue quand le débarquement allié en AZFN survient. Bloqué en métropole pendant un an, il décide de rallier l’Afrique du Nord via l’Espagne. Comme tant d’autres, il est interné à Miranda, avant de rallier le Maroc en novembre 1943. Second de la flottille 6.FE au Maroc en 1944-1945, il commande l’hydravion Achernar au sein de l’escadrille 33.S en 1946, puis entame une carrière civile

Il a rédigé ses souvenir au début des années 1980. Bien que la première partie ne concerne que le Service général, nous avons décidé d’en conserver la quasi-intégralité, car elle restitue fidèlement l’atmosphère générale dans a Marine des années 1930. La partie purement consacrée à l’Aéronautique navale constitue un régal pour le lecteur, tant par la forme que par le fond.
L’iconographie provient de l’auteur pour une très large part et de membres de l’ARDHAN d’autres part.
Les dessins sont de Max Moumin, la gouache de couverture de Francis Nicol

Poids 0,420 kg